La joie d’être demande que nous consentions vraiment à tous les aspects du vivant, dont la tristesse, la peur et la souffrance.
La joie ne peut éclore si tristesse, peur et souffrance ne peuvent éclore.
La vie et la joie vibrent lorsque nous consentons à ouvrir notre cœur, notre esprit et notre corps à la proposition de la vie, quoi qu’elle soit, et en nous exposant sans limites à ce vivant tel qu’il s’exprime.
L’ouverture dont il est question ici se fait aussi dans la rencontre profonde et inconditionnelle avec la fermeture, car la première sous-tend toujours la seconde.
Alors, vois qu’il n’y a jamais fermeture, mais un seul mouvement au sein d’un même cœur ouvert.
La joie ne peut éclore si tristesse, peur et souffrance ne peuvent éclore.
La vie et la joie vibrent lorsque nous consentons à ouvrir notre cœur, notre esprit et notre corps à la proposition de la vie, quoi qu’elle soit, et en nous exposant sans limites à ce vivant tel qu’il s’exprime.
L’ouverture dont il est question ici se fait aussi dans la rencontre profonde et inconditionnelle avec la fermeture, car la première sous-tend toujours la seconde.
Alors, vois qu’il n’y a jamais fermeture, mais un seul mouvement au sein d’un même cœur ouvert.
Séverine
(Petit extrait de mon livre "Vivante ! Un éveil à la vie, à la joie et à l'amour" - ed. Acacias l'originel)
(Petit extrait de mon livre "Vivante ! Un éveil à la vie, à la joie et à l'amour" - ed. Acacias l'originel)
www.laseve-et-lerien.com
Photo : JC Bernard
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