Il y a partout, mélangées aux particules de l'air que nous respirons, des particules d'amour errant. Parfois elles se condensent et nous tombent en pluie sur la tête. Parfois non.
C'est aussi peu dépendant de notre volonté qu'une averse de printemps.
Tout ce qu'on peut faire, c'est de rester le moins souvent à l'abri.
Christian Bobin
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