Une seule chose
est importante : que nous soyons vrais, que nous échappions
aux mensonges,
et même aux rêves et aux théories
qui nous enferment dans un monde illusoire où
nous sommes coupés de notre réalité profonde.
Dans la mesure où nous acceptons nos blessures, nous entrons dans
le chemin de l’unité ;
dans la mesure où
nous refusons de regarder notre vérité, nous maintenons
une cassure à l’intérieur de nous-même.
Dès que nous acceptons cette partie de
nous-même que nous refusions de regarder, que nous refusions
de reconnaître,
que nous refusions d’admettre, l’unité commence à se faire
à l’intérieur de notre être, et c’est de l’unité
que jaillit la fécondité. »
Extrait de la Source des larmes.
(source : La Vie)