mercredi 30 avril 2008
Citations de Sri Nisargadatta Maharaj
Sri Nisargadatta Maharaj (mars 1897 - 8 septembre 1981) était un enseignant du xxe siècle de la doctrine de la non-dualité. Il mena une vie de petit commerçant à Mumbai (Bombay), où il vendait des "bidies" (petites cigarettes indiennes). Le style direct de son enseignement intéressa autant les occidentaux que les orientaux, notamment au travers du livre qu'un de ses disciples publia : « I am That », qui a été traduit en de nombreuses langues (en français : « Je suis »).
Citations de Sri Nisargadatta Maharaj en français tirées de livres publiées aux Deux Océans :
"Le non-changement ne peut être réalisé que dans le silence. Seul le silence parle de l'inconnaissable. Le mental ne peut parler que de ce qu'il connaît. Le mental a soif de contenu et de diversité, alors que la réalité est, pour le mental, sans contenu et invariable."
"Vous êtes préoccupé par votre propre bonheur et je vous affirme qu'il n'existe rien de tel. Le bonheur n'est jamais le vôtre."
"Une fois que vous avez réalisé que la route est le but et que vous êtes toujours sur la route non pour atteindre un but mais pour jouir de sa beauté et de sa sagesse, la vie cesse d'être un devoir et elle devient naturelle et simple."
"Examinez assidûment tout ce qui se trouve dans le champ de votre attention. Avec la pratique, le champ s'élargira et l'investigation s'approfondira, jusqu'à ce que le champ devienne illimité et l'investigation spontanée."
mardi 29 avril 2008
Une cérémonie chez lez jaïns en Inde
La fête de la grande onction
En complément, un extrait vidéo de chez sangha productions sur les voeux des jaïns (1min30)
lundi 28 avril 2008
La souffrance par Jiddu Krishnamurti
Jiddu Krishnamurti, né à Madanapalle (Andhra Pradesh) le 12 mai 1895 et mort à Ojai (Californie) le 17 février 1986, est un psychologue et éducateur d'origine indienne.
"Vous nous proposez d’observer les actions de notre vie quotidienne, mais quelle est l’entité qui décide ce qu’il y a lieu d’observer et quand ? Qui décide s’il faut observer ?" Jiddu Krishnamurti
"Vous nous proposez d’observer les actions de notre vie quotidienne, mais quelle est l’entité qui décide ce qu’il y a lieu d’observer et quand ? Qui décide s’il faut observer ?" Jiddu Krishnamurti
voici un documentaire de l'ORTF de 1970 :
dimanche 27 avril 2008
Du thym dans le jardin
Dans la mythologie grecque, le thym est né d'une larme versé par Hélène lors de la Guerre de Troie et transformé par les Dieux en plante bénie. Voilà pourquoi il symbolisait le courage et qu'on le faisait brûler tel de l'encens lors de cérémonies dans les temples de la Grèce Antique. Il était alors également apprécié pour son parfum stimulant dans le bain ou en "eau-de-toilette".
Depuis les temps les plus reculés, le thym est apprécié pour ses nombreuses vertus médicinales.
L'huile essentielle du thym est concentrée en phénol, notamment le thymol. Ces substances sont de puissants antiseptiques, voire même antibiotiques. Efficaces sur le mal de gorge, les aphtes, la gingivite et la mauvaise haleine, elles sont aussi reconnues actives sur la destruction des virus et des bactéries de l'atmosphère ainsi que des maladies infectieuses. En infusion, le thym apaise ainsi les maladies des voies respiratoires : bronchite, rhume, grippe et asthme trouvent un rapide soulagement dès les premières gorgées.
Le thym possède par ailleurs des vertus apéritives mais, surtout, il favorise la digestion, aide à absorber les aliments contenant beaucoup de fer et à lutter contre les problèmes intestinaux. Connu par les Grecs pour son effet stimulant, il a effectivement un pouvoir contre la fatigue et l'anémie, et il favorise la circulation sanguine. Dans ce cas, c'est en friction que son huile est la plus bénéfique.
En friction encore, le thym soulage également les douleurs d'origines rhumatismales et possède un véritable pouvoir antispasmodique. Des massages sur les zones concernées dénouent les tensions et apaisent les contractures musculaires.
Pour finir, vous pouvez aussi l'utiliser comme produit de beauté tonique. Son eau resserre les pores de la peau, son infusion revitalise le cuir chevelu et son huile tonifie le corps.
Consommez-le frais, il est alors très puissant en arômes surtout si vous en pressez les feuilles avant de les incorporer au plat. Séché, il est l'un des ingrédients essentiels du bouquet garni.
L'huile essentielle du thym est concentrée en phénol, notamment le thymol. Ces substances sont de puissants antiseptiques, voire même antibiotiques. Efficaces sur le mal de gorge, les aphtes, la gingivite et la mauvaise haleine, elles sont aussi reconnues actives sur la destruction des virus et des bactéries de l'atmosphère ainsi que des maladies infectieuses. En infusion, le thym apaise ainsi les maladies des voies respiratoires : bronchite, rhume, grippe et asthme trouvent un rapide soulagement dès les premières gorgées.
Le thym possède par ailleurs des vertus apéritives mais, surtout, il favorise la digestion, aide à absorber les aliments contenant beaucoup de fer et à lutter contre les problèmes intestinaux. Connu par les Grecs pour son effet stimulant, il a effectivement un pouvoir contre la fatigue et l'anémie, et il favorise la circulation sanguine. Dans ce cas, c'est en friction que son huile est la plus bénéfique.
En friction encore, le thym soulage également les douleurs d'origines rhumatismales et possède un véritable pouvoir antispasmodique. Des massages sur les zones concernées dénouent les tensions et apaisent les contractures musculaires.
Pour finir, vous pouvez aussi l'utiliser comme produit de beauté tonique. Son eau resserre les pores de la peau, son infusion revitalise le cuir chevelu et son huile tonifie le corps.
Consommez-le frais, il est alors très puissant en arômes surtout si vous en pressez les feuilles avant de les incorporer au plat. Séché, il est l'un des ingrédients essentiels du bouquet garni.
Précieux Souvenirs... de Christiane Singer
«L'amour a ceci de commun avec la grâce que tout - et jusqu'à la manière de pousser une porte ou de nouer un lacet - est modifié. Rien de ce qui était avant ne demeure.»
Emission du 25 avril sur la RSR :
"Il n'est jamais trop tard pour avoir eu une enfance heureuse."
"Il n'est jamais trop tard pour avoir eu une enfance heureuse."
samedi 26 avril 2008
Doucement... la Terre
Voici quelques citations que vous pouvez retrouver dans le fichier à télécharger en haut à droite :
« Il serait urgent que les hommes décident de s’aimer pour de bon. »
Théodore Monod
« Il est temps de changer de civilisation, pour nous, pour nos enfants, pour les enfants de nos enfants. »
Jean-Marie Pelt
« Il nous faudra bien répondre à notre véritable vocation qui n’est pas de produire et de consommer jusqu’à la fin de nos vies, mais d’aimer, d’admirer et de prendre soin de la vie sous toutes ses formes. »
Pierre Rabhi
« Tout est relié. Ce que l’homme fait à la toile de la vie, il le fait à lui-même. »
Chef indien Seattle
« Vivre, c’est bien. Savoir vivre c’est mieux. Survivre, c’est sans doute le problème des hommes de demain. »
Roger Molinier
« Tout le monde veut sauver la planète mais personne ne veut descendre les poubelles. »
Jean Yanne
Une dernière pour l'espoir...
« La situation étant désespérée, tout est maintenant possible. »
John Cage
L'iceberg écologique ... par Arnaud Desjardins
Nous avons touché l'iceberg... Le rechauffement climatique jette un froid sur la survie de l'homme. Arnaud Desjardins nous partage sa vision...
Extraits du DVD "Paroles d'Hommes" à commander sur le site de Abrasiv Productions.
Extraits du DVD "Paroles d'Hommes" à commander sur le site de Abrasiv Productions.
vendredi 25 avril 2008
jeudi 24 avril 2008
Une messe au sommet de l'Assekrem
Quelques instants ou le sacré s'ouvre à nous :
Une montée de l'Assekrem pour un coucher de soleil, une montée pour un lever de soleil... ou le renouveau d'un jour célébré par une messe de frère Edouard, dans la chapelle de l'ancien ermitage de Charles de Foucauld... Cadeau du présent !
Une montée de l'Assekrem pour un coucher de soleil, une montée pour un lever de soleil... ou le renouveau d'un jour célébré par une messe de frère Edouard, dans la chapelle de l'ancien ermitage de Charles de Foucauld... Cadeau du présent !
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean, (Jn 10, 1-10),lu pendant la messe au sommet de l'Assekrem :
Jésus Parlait ainsi aux Pharisiens : «Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans la bergerie sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-la est un voleur et un bandit. Celui qui entre par la porte, c'est lui le pasteur, le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a conduit dehors toutes ses brebis, il marche à leur tête, et elles le suivent, car elles connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un inconnu, elles s'enfuiront loin de lui, car elles ne reconnaissent pas la voix des inconnus. »
Jésus employa cette parabole en s'adressant aux pharisiens, mais ils ne comprirent pas ce qu'il voulait leur dire. C'est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : je suis la porte des brebis. Ceux qui sont intervenus avant moi sont tous des voleurs et des bandits; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu'un entre en Passant par moi, il sera sauvé ; il pourra aller et venir, et il trouvera un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire. Moi je suis venu pour que les hommes aient la vie, pour qu'ils l'aient en abondance. »
Jésus Parlait ainsi aux Pharisiens : «Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans la bergerie sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-la est un voleur et un bandit. Celui qui entre par la porte, c'est lui le pasteur, le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a conduit dehors toutes ses brebis, il marche à leur tête, et elles le suivent, car elles connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un inconnu, elles s'enfuiront loin de lui, car elles ne reconnaissent pas la voix des inconnus. »
Jésus employa cette parabole en s'adressant aux pharisiens, mais ils ne comprirent pas ce qu'il voulait leur dire. C'est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : je suis la porte des brebis. Ceux qui sont intervenus avant moi sont tous des voleurs et des bandits; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu'un entre en Passant par moi, il sera sauvé ; il pourra aller et venir, et il trouvera un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire. Moi je suis venu pour que les hommes aient la vie, pour qu'ils l'aient en abondance. »
mercredi 23 avril 2008
Méditer : pour être calme en toutes circonstances
J'ai "saisi" cette vidéo du Dr Robert Béliveau (extraite du site "Passeport santé") :
– Le plus beau cadeau que l’on puisse faire aux autres, c’est la stabilité et le calme. Et, souvent, on est calme si on est concentré. L’idée c’est d’apprendre à devenir calme aussi si des choses génèrent un peu de turbulence. Pas juste quand on pense à notre mantra, mais apprendre à développer ce qu’on appelle l’équanimité. Être bien avec les choses telles qu’elles sont. Et même quand il y a plus de bruit, apprendre à vivre avec le bruit, et être calme dans cette relation-là. Développer une relation calme avec la réalité telle qu’elle est. Et non pas être bien juste si ça se passe comme ça, et moins bien si ça se passe comme ça… parce que souvent, notre habitude c’est, quand c’est bon, on veut mettre la main dessus et quand ce n’est pas bon, on veut repousser. L’idée de la méditation c’est de se familiariser avec « être bon »… Puis, ça change de toute façon! C’est une loi du bouddhisme qui dit – c’est ce qui s’appelle l’impermanence - : « Tout change tout le temps ». Donc, tu ne peux pas saisir quoi que ce soit. Quand tu es heureux, ne pense pas : « Là je l’ai! Et la prochaine fois que je fais une méditation, ça peut être complètement différent à un moment donné. » Et méditer, ce n’est pas ce qu’on pense. Ce n’est pas toujours pour atteindre cet état. C’est surtout pour se rencontrer, sourire à ce qui se passe pour nous. Et on voit que ça change constamment, en fonction de ce qu’on vit aussi, et on essaie de préserver cet esprit de nouveauté.
– Le plus beau cadeau que l’on puisse faire aux autres, c’est la stabilité et le calme. Et, souvent, on est calme si on est concentré. L’idée c’est d’apprendre à devenir calme aussi si des choses génèrent un peu de turbulence. Pas juste quand on pense à notre mantra, mais apprendre à développer ce qu’on appelle l’équanimité. Être bien avec les choses telles qu’elles sont. Et même quand il y a plus de bruit, apprendre à vivre avec le bruit, et être calme dans cette relation-là. Développer une relation calme avec la réalité telle qu’elle est. Et non pas être bien juste si ça se passe comme ça, et moins bien si ça se passe comme ça… parce que souvent, notre habitude c’est, quand c’est bon, on veut mettre la main dessus et quand ce n’est pas bon, on veut repousser. L’idée de la méditation c’est de se familiariser avec « être bon »… Puis, ça change de toute façon! C’est une loi du bouddhisme qui dit – c’est ce qui s’appelle l’impermanence - : « Tout change tout le temps ». Donc, tu ne peux pas saisir quoi que ce soit. Quand tu es heureux, ne pense pas : « Là je l’ai! Et la prochaine fois que je fais une méditation, ça peut être complètement différent à un moment donné. » Et méditer, ce n’est pas ce qu’on pense. Ce n’est pas toujours pour atteindre cet état. C’est surtout pour se rencontrer, sourire à ce qui se passe pour nous. Et on voit que ça change constamment, en fonction de ce qu’on vit aussi, et on essaie de préserver cet esprit de nouveauté.
mardi 22 avril 2008
Sois vide... par Lao Tseu
Plie-toi en deux, tu resteras entier
Incurve-toi tu seras redressé
Sois vide afin d'être rempli
Usé tu seras rajeuni
Possède peu, ce peu fructifiera
Beaucoup, ce beaucoup se perdra.
Lao Tseu
Incurve-toi tu seras redressé
Sois vide afin d'être rempli
Usé tu seras rajeuni
Possède peu, ce peu fructifiera
Beaucoup, ce beaucoup se perdra.
Lao Tseu
De retour, l'atterissage est délicat
De retour dans un monde de verdure, je m'aperçois que tous mes fichiers sonores ne peuvent plus s'écouter (le code html n'est plus valable). Je vous remercie de votre patience avant de nouveaux messages !
lundi 21 avril 2008
Le ficus, un bienfaiteur d'intérieur
L'intérieur de nos maisons est pollué. Voici le portrait d'un "dépollueur" de votre atmosphère bien utile et agréable.
Parmi les plantes les plus performantes contre les polluants intérieurs, on trouve : le syngonium, le ficus elastica (caoutchouc), le croton et les ficus benjamina (ficus pleureur) qui débarrassent l’atmosphère des émanations de formaldéhyde. Le spatyphyllum et l’anthurium luttent contre l’amoniac. Le dracaena, le kentia, l’areca et l’aglaonema sont efficaces contre le benzène et le xylène. Champion toutes catégories, le chlorophytum (plante araignée) absorbe la plupart des polluants plus le monoxyde de carbone provenant du chauffe-eau et de la gazinière.
Parmi les plantes les plus performantes contre les polluants intérieurs, on trouve : le syngonium, le ficus elastica (caoutchouc), le croton et les ficus benjamina (ficus pleureur) qui débarrassent l’atmosphère des émanations de formaldéhyde. Le spatyphyllum et l’anthurium luttent contre l’amoniac. Le dracaena, le kentia, l’areca et l’aglaonema sont efficaces contre le benzène et le xylène. Champion toutes catégories, le chlorophytum (plante araignée) absorbe la plupart des polluants plus le monoxyde de carbone provenant du chauffe-eau et de la gazinière.
dimanche 20 avril 2008
La Bretagne, les celtes et les druides
samedi 19 avril 2008
Au menu, une balade généreuse
Fougère, consoude, ortie, primevère, pervenche, toute une richesse à la cuisine...
vendredi 18 avril 2008
Des engrais verts pour une terre bio
Quelques conseils biologiques pour notre terre
jeudi 17 avril 2008
mercredi 16 avril 2008
mardi 15 avril 2008
Etat de la terre et les grands défis
Quelques grandes questions avant les grands changements !
lundi 14 avril 2008
Effet de serre... l'étau se ressere
Trop d'effet de serre, ça sent le gaz !
dimanche 13 avril 2008
L'adage d'Arnaud Desjardins
samedi 12 avril 2008
Les apparences sont trompeuses...
Lors des stages de groupe que j'ai pu vivre, une des conclusions était que mes "pensées-jugements" lors de la première rencontre se revélaient, au fil du temps, fausses. Et que derrière les apparences, les êtres étaient riches de multiples facettes. Les apparences sont trompeuses...
Brownie au chocolat
Un potager rouge
L'arroche, la chicorée de Vérone ou de Trévise, le chou "tête noire" et le tournesol 'velvet queen'... à planter avant le crépuscule !
Voir le potager en rouge
vendredi 11 avril 2008
La pollution agricole et le traitement de l'eau...
La pollution agricole
Le traitement de l'eau
(Acouphène a obtenu son DESS en traitement de l'eau, alors il connaît bien le sujet !)
(Acouphène a obtenu son DESS en traitement de l'eau, alors il connaît bien le sujet !)
jeudi 10 avril 2008
mercredi 9 avril 2008
Lao Tseu et le Tao te king
Lao-Tseu ou Laozi est une figure légendaire chinoise et l'auteur présumé du "Daode jing", le «Livre de la Voie et de la Vertu», compilation de textes dont se réclame le taoïsme.
Voici une émission (en 2 parties de 20 min) sur Lao Tseu ainsi que la possibilité d'écouter ce livre, le Tao-tö king .
Lao-Tseu, le vieil enfant (partie 1)
Lao-Tseu, le vieil enfant (partie 2)
Pour télécharger le Tao te King.
Ainsi que le site suivant.
mardi 8 avril 2008
Partir... dans le désert
Emploi du temps à partir de Vendredi : Marche / Manger / Dormir (si possible).
Intention : trouver la détente du corps et de l'esprit sous le silence du lieu nommé Hoggar
Tentative : laiser s'épancher les peurs (dont celle de la mort) pour humidifier l'aride terre
Souhaits : éviter les cloques, capter la chaleur des étoiles et revenir avec le soleil au coeur.
Dernière nuit, bien chez lui, au chaud, pour Acouphène. La nature phytospirituelle de ce blog poursuit, de son côté, son voyage... et vous laissera chaque jour des messages.
Au plaisir de vous retrouver.
Intention : trouver la détente du corps et de l'esprit sous le silence du lieu nommé Hoggar
Tentative : laiser s'épancher les peurs (dont celle de la mort) pour humidifier l'aride terre
Souhaits : éviter les cloques, capter la chaleur des étoiles et revenir avec le soleil au coeur.
Dernière nuit, bien chez lui, au chaud, pour Acouphène. La nature phytospirituelle de ce blog poursuit, de son côté, son voyage... et vous laissera chaque jour des messages.
Au plaisir de vous retrouver.
Je compte sur mon ange gardien...
Dans cette traversée du désert qui approche, le mieux est de se laisser porter, avec assurance :
Les anges nous entourent...
Une prière avant le départ vers le Hoggar... Dans la marche, je ne serai pas seul ! extrait de "Trésor des anges" de Mary Joslin et Elena Temporin
lundi 7 avril 2008
Consommer 52 watts au lieu de 77 watts
C'est possible ! Tous les petits gestes comptent ! Avec les moteurs écolos :
Il faut cependant noter que le fond blanc de Google n'utilise pas plus d'énergie sur les écrans TFT (à cristaux liquides, qui constituent la majorité des écrans actuellement). Il n'y a que sur les écrans à tube cathodiques (CRT) qu'il faut plus d'énergie pour produire du blanc.
Il faut cependant noter que le fond blanc de Google n'utilise pas plus d'énergie sur les écrans TFT (à cristaux liquides, qui constituent la majorité des écrans actuellement). Il n'y a que sur les écrans à tube cathodiques (CRT) qu'il faut plus d'énergie pour produire du blanc.
Swami prajnanpad par Daniel et Colette Roumanoff
Je vous conseille d'aller voir, de Daniel et Colette Roumanoff, ce site d'où est tirée la vidéo suivante :
Entretien de Svami Prajnanpad 9 janvier 1974
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Swami Prajnanpad
Les bols chantants...
Pour comprendre l'effet thérapeutique produit par les bols chantants, il faut brièvement rappeler quelques notions de base :
• Le son est vibration
Les sons font vibrer l'air, qui transmet la vibration à nos tympans. De même, il fait vibrer l'eau dont notre corps est composé à plus de 80%. Cela explique la notion de « massage sonore », redécouverte récemment en Occident par le biais de la musicothérapie.
• Le son est harmonie
Si l'on produit en même temps deux sons différents, certaines associations nous sembleront mélodieuses tandis que d'autres nous feront grincer des dents. Ces réactions sont souvent interprétées en termes de « plaisir / douleur ».
• La synchronicité
Dès le XVII" siècle, Christian Huyghens, savant hollandais, avait remarqué que deux pendules, placées côte à côte, avaient tendance à adopter exactement le même rythme sans intervention. On appelle ce phénomène « vibrer en phase » ou « osmose ».
Un exemple bien connu illustre parfaitement l'action du son sur la matière : le verre de cristal qui se brise à l'émission d'un contre-ut par une chanteuse soprano.
Le verre se met à vibrer, et si la note est tenue plus longtemps, il explose littéralement.
De même les bols chantants agissent au niveau de nos cellules. Ils émettent une vibration qui fait réagir tout notre corps. Cette vibration est fonction de la composition de l'alliage, mais aussi de la forme du bol, de la mailloche ou du fouet employé, de la vitesse et de la pression avec lesquelles on frotte le bol, etc… L'usage du bol chantant produit une vibration particulière, à laquelle réagissent chacune de nos cellules, chacun de nos organes.
Lorsque le phénomène de vibration en phase se produit, l'ensemble du corps est « accordé » sur la même fréquence, comme dans un orchestre quand tous les instruments sont accordés sur le même LA.
Chaque organe va ensuite reprendre sa fréquence propre, en harmonie avec tous les autres.
Pascal DELAMAIRE, 3ème année chez Bernard BOUHERET
(extrait de la Lettre du Shiatsu n°12)
• Le son est vibration
Les sons font vibrer l'air, qui transmet la vibration à nos tympans. De même, il fait vibrer l'eau dont notre corps est composé à plus de 80%. Cela explique la notion de « massage sonore », redécouverte récemment en Occident par le biais de la musicothérapie.
• Le son est harmonie
Si l'on produit en même temps deux sons différents, certaines associations nous sembleront mélodieuses tandis que d'autres nous feront grincer des dents. Ces réactions sont souvent interprétées en termes de « plaisir / douleur ».
• La synchronicité
Dès le XVII" siècle, Christian Huyghens, savant hollandais, avait remarqué que deux pendules, placées côte à côte, avaient tendance à adopter exactement le même rythme sans intervention. On appelle ce phénomène « vibrer en phase » ou « osmose ».
Un exemple bien connu illustre parfaitement l'action du son sur la matière : le verre de cristal qui se brise à l'émission d'un contre-ut par une chanteuse soprano.
Le verre se met à vibrer, et si la note est tenue plus longtemps, il explose littéralement.
De même les bols chantants agissent au niveau de nos cellules. Ils émettent une vibration qui fait réagir tout notre corps. Cette vibration est fonction de la composition de l'alliage, mais aussi de la forme du bol, de la mailloche ou du fouet employé, de la vitesse et de la pression avec lesquelles on frotte le bol, etc… L'usage du bol chantant produit une vibration particulière, à laquelle réagissent chacune de nos cellules, chacun de nos organes.
Lorsque le phénomène de vibration en phase se produit, l'ensemble du corps est « accordé » sur la même fréquence, comme dans un orchestre quand tous les instruments sont accordés sur le même LA.
Chaque organe va ensuite reprendre sa fréquence propre, en harmonie avec tous les autres.
Pascal DELAMAIRE, 3ème année chez Bernard BOUHERET
(extrait de la Lettre du Shiatsu n°12)
dimanche 6 avril 2008
Des paroles de la pensée d'Alan Watts
Voici en paroles, des pensées d'Alan Watts. Quelques extraits de textes également sur ce site.
Sur la sagesse
La véritable question se situe au niveau de notre façon de sentir et de nous concevoir en tant qu'êtres humains, du sentiment que nous avons de notre existence individuelle et de notre identité.
Sur l'éveil
L'illumination, c'est d'abord la liberté d'être le raté que l'on est... En dehors de cette acceptation, toute tentative de discipline morale ou spirituelle demeure le combat stérile d'un esprit scindé et de mauvaise foi.
Sur la nature
La conscience d'une solidarité indissoluble de l'homme avec la nature peut être accablante pour certains. Elle apparaît humiliante à une civilisation où l'homme a toujours été considéré comme le couronnement de la création et son "maître et possesseur".
L'Occident professe une philosophie tournée vers le futur, mais son attitude effective est en contradiction avec cet idéal. Sa vue ne porte guère au-delà du lendemain puisqu'il exploite les ressources terrestres (et modifie l'environnement) avec une connaissance très fragmentaire du réseau de relations ainsi déséquilibré.
Sur la mort
On dit qu'il n'y a de sûr que la mort et les impôts. Et la mort de chacun de nous est aussi certaine que si elle devait intervenir dans les cinq minutes qui viennent. Dans ce cas, pourquoi s'en faire? Où est le problème? Considérez que vous êtes déjà mort, et vous admettrez que vous n'avez plus rien à perdre ! Comme le dit un proverbe turc : "Celui qui dort par terre ne risque pas de tomber du lit." C'est ainsi qu'il en est pour celui qui se considère déjà comme quelqu'un de mort.
Sur la sagesse
La véritable question se situe au niveau de notre façon de sentir et de nous concevoir en tant qu'êtres humains, du sentiment que nous avons de notre existence individuelle et de notre identité.
Sur l'éveil
L'illumination, c'est d'abord la liberté d'être le raté que l'on est... En dehors de cette acceptation, toute tentative de discipline morale ou spirituelle demeure le combat stérile d'un esprit scindé et de mauvaise foi.
Sur la nature
La conscience d'une solidarité indissoluble de l'homme avec la nature peut être accablante pour certains. Elle apparaît humiliante à une civilisation où l'homme a toujours été considéré comme le couronnement de la création et son "maître et possesseur".
L'Occident professe une philosophie tournée vers le futur, mais son attitude effective est en contradiction avec cet idéal. Sa vue ne porte guère au-delà du lendemain puisqu'il exploite les ressources terrestres (et modifie l'environnement) avec une connaissance très fragmentaire du réseau de relations ainsi déséquilibré.
Sur la mort
On dit qu'il n'y a de sûr que la mort et les impôts. Et la mort de chacun de nous est aussi certaine que si elle devait intervenir dans les cinq minutes qui viennent. Dans ce cas, pourquoi s'en faire? Où est le problème? Considérez que vous êtes déjà mort, et vous admettrez que vous n'avez plus rien à perdre ! Comme le dit un proverbe turc : "Celui qui dort par terre ne risque pas de tomber du lit." C'est ainsi qu'il en est pour celui qui se considère déjà comme quelqu'un de mort.
Alan Watts, un esprit éclectique
Dans le dernier numéro (n°57) de "Nouvelles Clés", Gilles Farcet nous présente un article sur Alan Watts (6 janvier 1915 – 16 novembre 1973), "un des papes de la contre-culture américaine dans les années 60, précocément disparu à 58 ans, dont on redécouvre peu à peu son message de philosophie spirituel et libertaire."
Extrait de la fin de cet article : Et Arnaud Desjardins se souvient du rire tonitruant de Watts - rencontré à Paris vers la fin des années soixante -, de l'impression de liberté qui émanait de lui et de ce que lui confia ensuite un ami tibétain, interprète du Dalaï-lama, présent à cette soirée : "Voici le premier occidental qui ait vraiment compris l'essentiel du bouddhisme mahayana... Lui, il sait de quoi il parle... Il a vécu l'expérience fondamentale."
Extrait de la fin de cet article : Et Arnaud Desjardins se souvient du rire tonitruant de Watts - rencontré à Paris vers la fin des années soixante -, de l'impression de liberté qui émanait de lui et de ce que lui confia ensuite un ami tibétain, interprète du Dalaï-lama, présent à cette soirée : "Voici le premier occidental qui ait vraiment compris l'essentiel du bouddhisme mahayana... Lui, il sait de quoi il parle... Il a vécu l'expérience fondamentale."
samedi 5 avril 2008
Il y a 40 ans... Martin Luther King
"Ce n'est qu'en aimant nos ennemis que nous pouvons connaître Dieu et faire l'expérience de la sainteté." extrait de La Force d'aimer
La vie de Martin Luther King :
1929 : Le 15 janvier, naissance à Atlanta
1951 : Licence de théologie
1955 : Doctorat de philosophie
1963 : Prononce le plus célèbre de ses discours "I have a dream"
1964 : Il est le plus jeune Prix Nobel de la paix
1968 : le 4 avril, meurt assassiné à Memphis
La vie de Martin Luther King :
1929 : Le 15 janvier, naissance à Atlanta
1951 : Licence de théologie
1955 : Doctorat de philosophie
1963 : Prononce le plus célèbre de ses discours "I have a dream"
1964 : Il est le plus jeune Prix Nobel de la paix
1968 : le 4 avril, meurt assassiné à Memphis
" Ce ne fut que lorsque je devins partiellement responsable du boycottage des autobus de Montgomery que je fus confronté réellement avec les épreuves de la vie. Presque aussitôt, nous commençâmes à recevoir des menaces sérieuses. Je me sentis hésitant et ma peur grandit. Je décidai de remettre mon problème à Dieu [et lui dis] : "Je me suis dressé ici pour ce que je crois juste. Mais maintenant j'ai peur. Je suis au bout de mes forces. " À ce moment même, j'eus conscience de la présence divine comme jamais auparavant. C'était comme si je pouvais entendre
la tranquille assurance d'une voix intérieure : "Debout pour la justice. Debout pour la vérité. Dieu sera toujours à tes côtés." Presque aussitôt mes craintes me quittèrent. J'étais prêt à tout affronter. La situation extérieure n'avait pas changé, mais Dieu m'avait donné le calme intérieur. Notre maison sauta, mais je reçus calmement cette nouvelle. Je sais maintenant que Dieu peut nous donner les ressources intérieures pour faire face aux tempêtes de la vie. "
Ce que peut notre Dieu, extrait de la Force d'aimer, chapitre XIII, Casterman.
la tranquille assurance d'une voix intérieure : "Debout pour la justice. Debout pour la vérité. Dieu sera toujours à tes côtés." Presque aussitôt mes craintes me quittèrent. J'étais prêt à tout affronter. La situation extérieure n'avait pas changé, mais Dieu m'avait donné le calme intérieur. Notre maison sauta, mais je reçus calmement cette nouvelle. Je sais maintenant que Dieu peut nous donner les ressources intérieures pour faire face aux tempêtes de la vie. "
Ce que peut notre Dieu, extrait de la Force d'aimer, chapitre XIII, Casterman.
Emission "2000 ans d'histoire", Martin Luther King (25 min)
Vous pouvez écouter son discours à cette adresse
"Je vous le dis aujourd'hui, mes amis, bien que nous devions faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, j'ai tout de même un rêve. C'est un rêve profondément enraciné dans le rêve américain."
Je fais le rêve qu'un jour, cette nation se lève et vive sous le véritable sens de son credo : “Nous considérons ces vérités comme évidentes, que tous les hommes ont été créés égaux.”
Je fais le rêve qu'un jour, sur les collines rouges de la Géorgie, les fils des esclaves et les fils des propriétaires d'esclaves puissent s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.
Je fais le rêve qu'un jour, même l'État du Mississippi, désert étouffant d'injustice et d'oppression, soit transformé en une oasis de liberté et de justice.
Je fais le rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés par la couleur de leur peau, mais par le contenu de leur personne. Je fais ce rêve aujourd'hui !
Je fais le rêve qu'un jour juste là-bas en Alabama, avec ses racistes vicieux, avec son gouverneur qui a les lèvres dégoulinantes des mots interposition et annulation; un jour juste là-bas en Alabama les petits garçons noirs et les petites filles noires puissent joindre leurs mains avec les petits garçons blancs et les petites filles blanches, comme frères et sœurs.
Je fais ce rêve aujourd'hui.
Je fais le rêve qu'un jour chaque vallée soit glorifiée, que chaque colline et chaque montagne soit aplanie, que les endroits rudes soient transformées en plaines, que les endroits tortueux soient redressés, que la gloire du Seigneur soit révélée et que tous les vivants le voient tous ensemble.
vendredi 4 avril 2008
il y a un an... Christiane Singer
« Quand il n’y a plus rien, il n’y a plus que l’amour. »
Marie de Hennezel qui nous parle de l’ultime défi de son amie, décédée le 4 avril 2007 :
Dans quel état d’esprit se trouvait-elle lors des jours qui ont précédé sa mort ?
Elle était dans l’acceptation. Chacun meurt comme il a vécu. Christiane a toujours eu cette passion, ce don de rechercher la merveille dans chaque chose. Elle a vécu cet ultime temps de vie avec la même passion. La dernière fois que je l’ai eue au téléphone, elle m’a dit : « Je suis loin, très loin, mais je suis bien. » Ce qui m’a frappée, quand je suis allée lui dire au revoir, à Vienne, en Autriche, en entrant dans sa chambre, c’est le paradoxe entre les signes évidents de sa mort prochaine, sa maigreur, sa fragilité physique, et puis l’énergie qui débordait d’elle et qui régnait dans la chambre. Son regard, son sourire étaient pleins de vitalité. Elle reposait les mains ouvertes, sans attente, prête à tout.
Extrait d'une interview par Jacques Chancel de Christiane Singer
Voir l'article en entier sur le site de psychologies
Née en 1943, d’un père juif qui avait rompu par rapport à toute tradition religieuse, et d’une mère catholique, Christiane Singer vécut à Marseille une enfance très chrétienne. Ayant épousé un mari autrichien, elle a désormais vécu là-bas, au château de Ratsenberg, à une cinquantaine de kilomètres de Vienne. Avec son mari, elle visitera beaucoup de pays, notamment d’Orient, où elle découvrira d’autres mondes religieux qui alimenteront son incessante quête intérieure. Elle a ainsi approfondi les traditions tibétaines, le bouddhisme, le soufisme, le judaïsme hassidique. Progressivement, elle est revenue vers la foi chrétienne de son enfance. “Le Christ, je l’ai rencontré partout. S’il n’était pas dans le visage de mes frères, il ne serait nulle part. Je ne le localise plus. Il s’est répandu finement partout.”
Emission de la TSR, le 13 mars 2005
jeudi 3 avril 2008
Faire ses tisanes et ses teintures
Faire des tisanes, avec de l'ortie pour l'énergie, avec la camomille comme anti-inflammatoire, avec la calendule pour la peau et la bouche...
Réaliser ses teintures de fleurs
Réaliser ses teintures de fleurs
Les teintures permettent une excellente conservation des propriétés médicinales des plantes. Elles sont très concentrées et doivent être prises en petites doses. Elles se fabriquent toujours à partir d'une seule plante, mais il est ensuite possible de mélanger différentes teintures.
Pour les préparer :
Broyer finement la plante choisie dans un mélangeur électrique avec environ le double de son volume en alcool d'au moins 40 %. (La vodka convient très bien puisqu'elle contient peu d'additifs.) Verser la préparation dans un bocal en verre et fermer hermétiquement.
Laisser macérer durant un mois à l'abri de la lumière en agitant vigoureusement le bocal tous les deux jours.
Lorsque la période de macération est terminée, filtrer à travers une mousseline en pressant énergiquement le tout afin d'extraire le maximum de teinture.
Verser la teinture dans des bouteilles de verre coloré. De préférence, on utilisera de petites bouteilles avec un bouchon de type compte-gouttes. Les teintures à l'alcool se conservent environ sept ans.
Pour les utiliser, on peut déposer le nombre de gouttes voulu dans un peu d'eau ou encore les mettre directement sous la langue pour obtenir un effet plus rapidement.
mercredi 2 avril 2008
Trois plantes médicinales
Trois plantes médicinales : la mélisse, le millepertuis, l'achillée millefeuille.
Du poisson à l'homme... Renaître par le lying
Swami Prajnanpad disait "le lying, ce n’est pas se souvenir, c’est revivre intensément".
"Juin 2004 : premier stage de groupe et cinq lyings en prévision.
Le premier : des cris d'animaux du genre entre l'âne et le singe. Je ne savais pas que je pouvais émettre ces sons !
Le deuxième : des cris à nouveau, des pleurs, un étouffement, sensation de menottes au poignet, le corps allongé tente de se recroqueviller sur lui même en position foetus ...
Le troisième : même cérémonie et le corps tout entier se recroqueville, il ne peut plus respirer, il a avalé du liquide, il veut sortir. Les mouvements de la personne présente m'aide mais la peur de la souffrance arrête le processus.
Le quatrième : même scénario mais là, l'envie de sortir est plus forte, l'envie de ne pas mourir étouffé, le corps se faufile à travers l'orifice, peu à peu de la tête au pied, se débat dans tous les sens... Je veux sortir... Epuisé, le corps respire... La vie a été plus forte !" (extrait de "La vie d'Acouphene")
Je me remémore cette première respiration que je refais sans cesse sans (suffisamment) me rendre compte qu'elle me donne la vie. Et je la remercie. Non, ce n'est pas fini, car comme dit Daniel Odier :"Chaque fois que l'on pense avoir accompli quelque chose sur le plan spirituel, la vie nous démontre très vite qu'il y a encore pas mal de travail à faire..."
"Le lying a été conçu par Swami Prajnanpad. Ancien professeur d’université réfugié au Bengale ; il accueillait pour des séjours d’un mois ou deux, quelques étudiants. Parmi eux, il y avait Arnaud et Denise Desjardin, ainsi que Frédéric Leboyer. Les entretiens qu’ils avaient ensemble s’appelaient des "sittings" tout bêtement parce qu’ils étaient assis. Quand une émotion surgissait, le maître leurs proposait de s’allonger, et de là est née l’expression "lying" qui ne veut rien dire en soi. Techniquement, l’extrême simplicité empêche que l’on définisse le lying autrement que par une invitation à s’allonger, se relâcher dans l’expir, être là, présent et s’abandonner... Lire la suite
Egalement le bel article de Jean-Claude Cartier
mardi 1 avril 2008
Mort d'un blog ? Est-ce Phytospirituel ?
Voilà, c'est fini ! Tout a une fin ! CECI EST LE DERNIER MESSAGE !
"La Conscience EST. Je vois bien qu’hier est situé dans la Conscience qui, elle, ne varie pas, ne change pas. Même si je remontais le temps en arrière, la naissance a lieu à l’intérieur de la Conscience, donc la mort a lieu à l’intérieur de la Conscience – et le temps, la totalité du temps, se déploie à l’intérieur de la Conscience. Ce qui, pour vous, représente les deux grandes données du temps : la naissance et la mort, se situe à l’intérieur de la Conscience.
Et brusquement vous réaliserez : Ce que disent Ramana Maharshi et les autres sages est vrai. « Je ne suis jamais né, par conséquent je ne mourrai jamais. » L’atman ne naît ni ne meurt. Comme enseignait Swâmiji : « There are countless births and deaths but, in truth, there is no birth and no death. » « Il y a d’innombrables naissances et morts mais, en vérité, il n’y a ni naissance ni mort. » Même la naissance et la mort prennent place à l’intérieur de la Conscience."
Arnaud Desjardins - A la Recherche du Soi - IV. Tu es Cela
Et brusquement vous réaliserez : Ce que disent Ramana Maharshi et les autres sages est vrai. « Je ne suis jamais né, par conséquent je ne mourrai jamais. » L’atman ne naît ni ne meurt. Comme enseignait Swâmiji : « There are countless births and deaths but, in truth, there is no birth and no death. » « Il y a d’innombrables naissances et morts mais, en vérité, il n’y a ni naissance ni mort. » Même la naissance et la mort prennent place à l’intérieur de la Conscience."
Arnaud Desjardins - A la Recherche du Soi - IV. Tu es Cela
Enfin ce serait oui ...de Pierre Dhainaut
"A l'occasion de la sortie de Levées d'empreintes aux éditions Arfuyen... Forte de quelque 30 ouvrages publiés depuis près de 40 ans, l’œuvre de Pierre Dhainaut, inaugurée avec Le poème commencé (Mercure de France, 1969) apparaît de plus en plus comme l’une des œuvres majeures de la poésie française contemporaine." (France Culture)
J'ai la chance de connaître le poète Pierre Dhainaut, et je vous laisse un extrait de l'émission de France Culture où Pierre lit deux poèmes et nous parle du "Oui".
Enfin ce serait oui...
Ce n'est qu'un souffle encore et un sourire
quand nous le nommons, que nos mains le prennent,
nous nous sentons soudain si maladroits.
Il vient de naître, il a toute confiance
en ceux qui s'approchent, qui se penchent : à sa venue
nous n'avons pas épanoui le monde.
Avec la vie nous n'avons pas donné
la parole de vie : le mot, le seul
qu'il conviendrait de dire, se refuse à trouer la gorge.
Chaque enfant nous invite, dès qu'il respire,
comme sur une plage où les vents jubilent sans réserve,
à l'écouter entre ses lèvres.
Décharger l'espace, l'air y serait libre,
libre aussi bien de se transformer en lumière,
nous l'apprendrons de lui en prononçant
la syllabe frêle, chaleureuse, enfin ce serait oui.
Poésie sur Parole (France Culture, le 30 mars 2008)
Offrir et ne jamais finir
... offrir sur la vitre
la première buée. Tu rêverais
uniquement d'être ici en avril,
tu n'esquisserais que les initiales
des prénoms que tu aimes, et toujours
ce serait, venant vers toi,
le vent pur, les nuages, l'écume...
... offrir un peu d'eau
qui croupit au bas des trottoirs.
A peine entre les mains
tu ne dirais plus qu'elle est sale,
tu t'en laverais le visage,
tu écouterais à l'instant
ce bruit de source où le ciel se découvre...
... offrir un papier
froissé, jeté. L'origine perdue, les lettres
devenues grises, l'encre et la pluie
mélangées à la terre, chaque ligne,
chaque tache, tu les déchiffrerais,
tu les rendrais arborescentes,
tu en ferais le début d'un poème...
... offrir une graine
tombée de l'érable, écrasée.
Tu la tiendrais au bout des doigts,
il te viendrait un souffle
déjà pour disjoindre tes lèvres
en épelant le mot « samare »
et partir, partir très loin avec elle...
... offrir un fragment
d'écorce, quel que soit l'arbre,
mais de préférence un bouleau,
la plus fragile. Sans cesse,
en le pressant, tu ranimerais le regard,
tu sentirais en plein essor
le tronc clair qui frémit...
... offrir un caillou
que tu ne prends que pour le reposer
dans le lit du torrent. Tu saurais bien
quelle est ta place à genoux sur la rive,
la sienne aussi entre tant d'autres
au milieu des remous, toi silencieux,
lui lumineux ensemble...
…offrir dans le sable
ces empreintes d'oiseaux
que la brise interprète en effaçant.
Tu ne pèserais plus,
sans savoir où, te saisirait
le claquement d'une aile,
tu ruissellerais sous la vague...
J'ai la chance de connaître le poète Pierre Dhainaut, et je vous laisse un extrait de l'émission de France Culture où Pierre lit deux poèmes et nous parle du "Oui".
Enfin ce serait oui...
Ce n'est qu'un souffle encore et un sourire
quand nous le nommons, que nos mains le prennent,
nous nous sentons soudain si maladroits.
Il vient de naître, il a toute confiance
en ceux qui s'approchent, qui se penchent : à sa venue
nous n'avons pas épanoui le monde.
Avec la vie nous n'avons pas donné
la parole de vie : le mot, le seul
qu'il conviendrait de dire, se refuse à trouer la gorge.
Chaque enfant nous invite, dès qu'il respire,
comme sur une plage où les vents jubilent sans réserve,
à l'écouter entre ses lèvres.
Décharger l'espace, l'air y serait libre,
libre aussi bien de se transformer en lumière,
nous l'apprendrons de lui en prononçant
la syllabe frêle, chaleureuse, enfin ce serait oui.
Poésie sur Parole (France Culture, le 30 mars 2008)
Offrir et ne jamais finir
... offrir sur la vitre
la première buée. Tu rêverais
uniquement d'être ici en avril,
tu n'esquisserais que les initiales
des prénoms que tu aimes, et toujours
ce serait, venant vers toi,
le vent pur, les nuages, l'écume...
... offrir un peu d'eau
qui croupit au bas des trottoirs.
A peine entre les mains
tu ne dirais plus qu'elle est sale,
tu t'en laverais le visage,
tu écouterais à l'instant
ce bruit de source où le ciel se découvre...
... offrir un papier
froissé, jeté. L'origine perdue, les lettres
devenues grises, l'encre et la pluie
mélangées à la terre, chaque ligne,
chaque tache, tu les déchiffrerais,
tu les rendrais arborescentes,
tu en ferais le début d'un poème...
... offrir une graine
tombée de l'érable, écrasée.
Tu la tiendrais au bout des doigts,
il te viendrait un souffle
déjà pour disjoindre tes lèvres
en épelant le mot « samare »
et partir, partir très loin avec elle...
... offrir un fragment
d'écorce, quel que soit l'arbre,
mais de préférence un bouleau,
la plus fragile. Sans cesse,
en le pressant, tu ranimerais le regard,
tu sentirais en plein essor
le tronc clair qui frémit...
... offrir un caillou
que tu ne prends que pour le reposer
dans le lit du torrent. Tu saurais bien
quelle est ta place à genoux sur la rive,
la sienne aussi entre tant d'autres
au milieu des remous, toi silencieux,
lui lumineux ensemble...
…offrir dans le sable
ces empreintes d'oiseaux
que la brise interprète en effaçant.
Tu ne pèserais plus,
sans savoir où, te saisirait
le claquement d'une aile,
tu ruissellerais sous la vague...
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En cette semaine durable, polluons l'espace de nos bonnes intentions pour la planète !
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