Dans bien des cas, les douleurs par exemple dorsales peuvent être atténuées en luttant contre l’inflammation localisée.
C’est ce que certaines huiles essentielles font le mieux, et c’est tout bénéfice pour un apaisement rapide.
L’huile essentielle de gaulthérie couchée (Gaultheria procumbens) est probablement la plus utilisée dans le cadre du mal de dos. Sa réputation en matière de lutte contre la douleur n’est plus à faire et c’est sans aucun doute dû à sa très haute teneur en salicylate de méthyle, une molécule qu’on apparente volontiers à l’aspirine. Le geste qui sauve en cas de douleurs diffuses autant qu’en cas d’arthrite ou de rhumatismes consiste à masser les zones douloureuses avec une huile végétale dosée à 10 % d’huile essentielle dont la gaulthérie couchée (on peut compter 8 gouttes d’huile essentielle pour une cuillère à café d’huile végétale).
L’odeur est persistante, mais la chaleur dégagée par la gaulthérie assouplit, relaxe et apaise. La zone massée bénéficie de l’action rubéfiante de l’essence qui fait rougir la peau en dilatant les vaisseaux sanguins. La zone endolorie est mieux irriguée en sang et se « réchauffe » alors que l’inflammation s’atténue. Ce remède est cependant à manier avec prudence, car les personnes sous traitement anticoagulant, les hypertendus, les femmes enceintes ou allaitantes devront l’éviter.
Une autre reine de la lutte contre l’inflammation en aromathérapie est l’huile essentielle d’eucalyptus citronné (Eucalyptus citriodora). Un arôme de citronnelle puissant et parfois mal accepté par le patient, mais une efficacité hors pair en cas de douleurs articulaires ou musculaires. L’eucalyptus citronné est très apprécié dans le milieu sportif, souvent en synergie avec la gaulthérie, car il apaise efficacement les inconforts douloureux tels que les courbatures, les contractures ou déchirures musculaires, la tendinite, et même les entorses.
On l’appelle parfois le « pompier de l’aromathérapie » tant il est efficace. L’huile essentielle « éteint » le feu de l’inflammation grâce à sa composition riche en aldéhydes terpéniques, qui annulent les effets de l’inflammation. À nouveau, on traite la douleur par le massage doux, réalisé avec une huile aromatisée à 10 ou 20 % d’huiles essentielles selon l’étendue de la zone douloureuse et la force de la douleur. Une synergie que les kinés connaissent bien…
source : Plantes et Bien-être
L’huile essentielle de gaulthérie couchée (Gaultheria procumbens) est probablement la plus utilisée dans le cadre du mal de dos. Sa réputation en matière de lutte contre la douleur n’est plus à faire et c’est sans aucun doute dû à sa très haute teneur en salicylate de méthyle, une molécule qu’on apparente volontiers à l’aspirine. Le geste qui sauve en cas de douleurs diffuses autant qu’en cas d’arthrite ou de rhumatismes consiste à masser les zones douloureuses avec une huile végétale dosée à 10 % d’huile essentielle dont la gaulthérie couchée (on peut compter 8 gouttes d’huile essentielle pour une cuillère à café d’huile végétale).
L’odeur est persistante, mais la chaleur dégagée par la gaulthérie assouplit, relaxe et apaise. La zone massée bénéficie de l’action rubéfiante de l’essence qui fait rougir la peau en dilatant les vaisseaux sanguins. La zone endolorie est mieux irriguée en sang et se « réchauffe » alors que l’inflammation s’atténue. Ce remède est cependant à manier avec prudence, car les personnes sous traitement anticoagulant, les hypertendus, les femmes enceintes ou allaitantes devront l’éviter.
Une autre reine de la lutte contre l’inflammation en aromathérapie est l’huile essentielle d’eucalyptus citronné (Eucalyptus citriodora). Un arôme de citronnelle puissant et parfois mal accepté par le patient, mais une efficacité hors pair en cas de douleurs articulaires ou musculaires. L’eucalyptus citronné est très apprécié dans le milieu sportif, souvent en synergie avec la gaulthérie, car il apaise efficacement les inconforts douloureux tels que les courbatures, les contractures ou déchirures musculaires, la tendinite, et même les entorses.
On l’appelle parfois le « pompier de l’aromathérapie » tant il est efficace. L’huile essentielle « éteint » le feu de l’inflammation grâce à sa composition riche en aldéhydes terpéniques, qui annulent les effets de l’inflammation. À nouveau, on traite la douleur par le massage doux, réalisé avec une huile aromatisée à 10 ou 20 % d’huiles essentielles selon l’étendue de la zone douloureuse et la force de la douleur. Une synergie que les kinés connaissent bien…