lundi 6 mai 2019

Convergences, résonances...


«J'affectionne la définition simple, que donne Gautama le Bouddha, de l'illumination : il affirme que c'est « la fin de la souffrance ». Cela n'a rien de surhumain, n'est-ce pas ? Bien sûr, comme telle, cette définition est incomplète, car elle exprime seulement ce que l'illumination n'est pas, c'est-à-dire qu'elle n'est pas souffrance. Mais que reste-t-il quand il n'y a plus de souffrance ? Bouddha garde le silence là-dessus et son silence sous-entend que c'est à vous de le découvrir. Il retient une définition par la négative afin que le « mental » ne puisse pas en faire une croyance ou un accomplissement surhumain, un objectif qu'il vous soit impossible à atteindre.» 
(Eckhart Tolle, Le pouvoir du moment présent)

«C'est parce que le rêve s'arrête que l'on appelle ça l'éveil. Mais en fait, l'éveil, cela n'existe pas.
Cela s'appelle l'éveil du point de vue du rêve, mais quand le rêve cesse, cela n'a plus de nom, cela est Cela, c'est tout.
L'éveil s'évanouit avec le rêve.»

(Yvan Amar, Les nourritures silencieuses)

«...l'essentiel n'est pas d'acquérir ce qui nous manque – la sagesse, la maîtrise de soi, l'amour universel, la supra-conscience – mais de faire disparaître ce qui est en trop.»
 (Arnaud Desjardins, La voie du cœur)

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L'heure juste...

Combien de temps prenez-vous 
pour contempler le monde ?

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