
[...]Ainsi en est-il de tout dépouillement, qui libère l’espace en exaltant le vide. L’étendue apparaît soudain plus vaste, le ciel si proche.
Les arbres semblent s’être dénudés pour faire notre regard plus large, pour donner plus de place à la lumière.
[...]Au coeur de l’hiver, qui brûle d’un feu glacé, il y a cette incandescence, cette forme d’épure, de fine aiguille sur le point de se briser. C’est l’azur vibrant, qui descend jusqu’à nous comme le fruit d’une cinquième saison.
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