dimanche 16 octobre 2011
samedi 15 octobre 2011
Christiane Singer et le corps...(4)
vendredi 14 octobre 2011
Christiane Singer et la crise...(3)

"La mort, cette fidèle et excellente amie" c'est de Mozart, une citation que reprend volontiers à son compte Christiane Singer. Pour elle, les crises sont une nécessité sans quoi la vie serait fade et sans intérêt.
Troisième partie avec Christiane singer (14 min.)
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Troisième partie avec Christiane singer (14 min.)
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jeudi 13 octobre 2011
Christiane Singer, une spiritualité du quotidien (2)

mercredi 12 octobre 2011
Christiane Singer et la quête du sens (1)

Christiane Singer avait, en 2004, 61 ans. Même si son accent trahit ses origines marseillaises, elle vivait en Autriche et parcourait l'Europe pour donner des conférences, animer des ateliers...
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mardi 11 octobre 2011
Un pas vers l'amour actif avec Alexandre Jollien
Dans les Frères Karamazov, Dostoïevski dépeint le formidable champ de bataille de mille et une passions. La jalousie côtoie l'ambition, la haine, l'amour. Il nous livre une prodigieuse méditation sur ce sentiment qui devrait rapprocher les hommes mais, bien souvent, lorsqu'ils se fourvoient, les éloigne. Comment aimer mieux ?
S'il fallait choisir une définition pour l'amour, celle de Spinoza remporterait tous mes suffrages. Pour lui, il est une joie accompagnée de l'idée d'une cause extérieure. Ainsi, aimer l'autre revient à se réjouir de son existence. Nous voici, loin de l'attachement, de la convoitise, d'un aliénant désir. L'amour est une disponibilité envers ce qui est. Cependant, nous avons, tous ou presque, rencontré la difficulté de conserver intact ce lien profond.
Ivan Karamazov parle de l'amour du lointain, plus aisé à vivre parce que ponctuel, passager. Le roman rapporte les paroles d'un médecin qui désirait ardemment servir l'humanité et pour ainsi dire était prêt à se crucifier pour les hommes tandis qu'il était incapable de partager sa chambre plus de deux jours. Cette ardeur soudaine se pratique dans la fulgurance, on s'approche ici de l'idéal. Une fois en ma vie, j'éprouve un élan charitable pour un étranger et je fais tout pour lui. Porter sa famille dans son cœur réclame un tout autre engagement. Il s'agit de supporter les petits défauts, d'habiter la routine, de renouveler chaque jour une présence.
Le starets Zossima me livre un outil. Il parle d'un amour actif, d'une pratique, d'actes réitérés de bienveillance, de disponibilité et d'accueil. L'épreuve du quotidien me montre qu'il faut une persévérance pour continuer à se réjouir de l'existence de l'aimé. Mais est-ce que je sais lui laisser sa place ? Souvent, devenant le centre de notre relation, je l'instrumentalise. Dès lors, je suis dans l'attachement, je veux avoir la mainmise sur l'objet de ma tendresse. Ainsi, l'amour actif pourrait réclamer comme préalable un certain effacement devant l'autre. Le starets le dit si bien : « L'amour actif, c'est du travail et de la patience. » Je préfère quant à moi parler d'œuvre plutôt que de travail, congédiant tout danger volontariste. Celle-ci consiste peut-être à se détacher, par amour, de nos attentes, quitter progressivement nos projections. Souvent, je m'éprends d'une image façonnée par mes désirs. Dès que la réalité paraît, je cesse d'aimer.
Si la passion rend aveugle, l'amour peut ouvrir les yeux. Aimer en actes, c'est contempler le réel sans souhaiter le modeler à son gré. Au-delà des fantasmes, des idéaux, un être me fait face. Comment partir à sa découverte en abandonnant préjugés et projections ? La vérité peut ici servir de guide et permettre un fécond retour sur soi qui révélera mes espérances, ma volonté de m'approcher des distributeurs de tendresse sans -vouloir m'engager, partager. Une action demeure essentielle : aider. L'amour en actes revient précisément à accompagner l'autre sans m'imposer. Un sage indien, Swami Prajnanpad, vient compléter ce portrait lorsqu'il affirme qu'aimer, c'est aider à se détendre. Souvent, le désir oppresse, il contraint la réalité pour que celle-ci se plie à ses attentes. Suivre Prajnanpad, c'est au contraire accueillir autrui tel qu'il se propose. Ainsi peut-il se réaliser dans la joie. Cet appel à la vérité, cette bienveillance, ce refus de juger, gageons qu'il commence par un sain amour de soi.
Un exercice spirituel
Est-ce que je sais laisser sa place à l'être aimé ?
Est-ce que, par des actes réitérés de bienveillance, de disponibilité et d'accueil, je parviens à me réjouir de son existence ?
ALEXANDRE JOLLIEN est un philosophe et écrivain né en 1975 à Savièse, en Suisse. Il est l'auteur notamment d'Éloge de la faiblesse et de la Construction de soi.
Source : La vie
S'il fallait choisir une définition pour l'amour, celle de Spinoza remporterait tous mes suffrages. Pour lui, il est une joie accompagnée de l'idée d'une cause extérieure. Ainsi, aimer l'autre revient à se réjouir de son existence. Nous voici, loin de l'attachement, de la convoitise, d'un aliénant désir. L'amour est une disponibilité envers ce qui est. Cependant, nous avons, tous ou presque, rencontré la difficulté de conserver intact ce lien profond.
Ivan Karamazov parle de l'amour du lointain, plus aisé à vivre parce que ponctuel, passager. Le roman rapporte les paroles d'un médecin qui désirait ardemment servir l'humanité et pour ainsi dire était prêt à se crucifier pour les hommes tandis qu'il était incapable de partager sa chambre plus de deux jours. Cette ardeur soudaine se pratique dans la fulgurance, on s'approche ici de l'idéal. Une fois en ma vie, j'éprouve un élan charitable pour un étranger et je fais tout pour lui. Porter sa famille dans son cœur réclame un tout autre engagement. Il s'agit de supporter les petits défauts, d'habiter la routine, de renouveler chaque jour une présence.
Le starets Zossima me livre un outil. Il parle d'un amour actif, d'une pratique, d'actes réitérés de bienveillance, de disponibilité et d'accueil. L'épreuve du quotidien me montre qu'il faut une persévérance pour continuer à se réjouir de l'existence de l'aimé. Mais est-ce que je sais lui laisser sa place ? Souvent, devenant le centre de notre relation, je l'instrumentalise. Dès lors, je suis dans l'attachement, je veux avoir la mainmise sur l'objet de ma tendresse. Ainsi, l'amour actif pourrait réclamer comme préalable un certain effacement devant l'autre. Le starets le dit si bien : « L'amour actif, c'est du travail et de la patience. » Je préfère quant à moi parler d'œuvre plutôt que de travail, congédiant tout danger volontariste. Celle-ci consiste peut-être à se détacher, par amour, de nos attentes, quitter progressivement nos projections. Souvent, je m'éprends d'une image façonnée par mes désirs. Dès que la réalité paraît, je cesse d'aimer.
Si la passion rend aveugle, l'amour peut ouvrir les yeux. Aimer en actes, c'est contempler le réel sans souhaiter le modeler à son gré. Au-delà des fantasmes, des idéaux, un être me fait face. Comment partir à sa découverte en abandonnant préjugés et projections ? La vérité peut ici servir de guide et permettre un fécond retour sur soi qui révélera mes espérances, ma volonté de m'approcher des distributeurs de tendresse sans -vouloir m'engager, partager. Une action demeure essentielle : aider. L'amour en actes revient précisément à accompagner l'autre sans m'imposer. Un sage indien, Swami Prajnanpad, vient compléter ce portrait lorsqu'il affirme qu'aimer, c'est aider à se détendre. Souvent, le désir oppresse, il contraint la réalité pour que celle-ci se plie à ses attentes. Suivre Prajnanpad, c'est au contraire accueillir autrui tel qu'il se propose. Ainsi peut-il se réaliser dans la joie. Cet appel à la vérité, cette bienveillance, ce refus de juger, gageons qu'il commence par un sain amour de soi.
Un exercice spirituel
Est-ce que je sais laisser sa place à l'être aimé ?
Est-ce que, par des actes réitérés de bienveillance, de disponibilité et d'accueil, je parviens à me réjouir de son existence ?
ALEXANDRE JOLLIEN est un philosophe et écrivain né en 1975 à Savièse, en Suisse. Il est l'auteur notamment d'Éloge de la faiblesse et de la Construction de soi.
Source : La vie
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lundi 10 octobre 2011
Christian Bobin : « La poésie, c´est l´expérience spirituelle de la vie »
Christian Bobin : « La poésie, c´est l´expérience spirituelle de la vie » par Antoine Buffet
Christian Bobin habite près du Creusot (Saône-et-Loire). Il a écrit de très nombreux ouvrages (Le Très Bas, Ressusciter...) La prise de contact fut laborieuse, notre poète n´utilisant qu´avec modération les moyens de communication modernes. D´où l´impression positive d´avoir « gagné » ce contact. Christian m´accueille dans sa jolie maison aux volets bleus tout au fond des bois. Un accueil simple et chaleureux.
Antoine Buffet.- Christian, dans un de vos livres, Ressusciter, vous écrivez : « Je ne crois plus à l'amour parce que je ne crois qu´à l´amour ». Que voulez-vous dire ?
Christian Bobin.- Le mot « amour » est dévalué, il a trop servi : les chrétiens en parlent trop, le monde le galvaude, en fait du commerce. Pour moi, l´amour est une chose qui vient après beaucoup de luttes, de douleurs. Une sorte de clairière. Mais pour l´atteindre, il faut traverser une forêt bien sombre, celle de notre monde. Je vous conseille, là-dessus, le récent livre de Lytta Basset : Aimer sans dévorer.
- Alors pessimisme face au monde ?
- La Bonne Nouvelle ne vient que par la Bible. Le monde, lui, ne change pas. Le monde est un arbre mort sur lequel on ne peut s´appuyer. C´est un écran entre la personne et son cœur. L´argent, la possession, autant de masques. Nous vivons un état de naufrage. Mais je suis confiant, quelque chose reste hors d´atteinte du monde : c´est l´âme. Elle ne s´éteint pas. C´est elle qui lutte contre le monde.
- Quelle est votre espérance ?
- Je crois que toute vie humaine s´inscrit dans le temps d´un Évangile : d´abord, rien, puis l'annonciation, l´incarnation, l´errance, la révélation, le Golgotha puis la résurrection. Les plus belles choses doivent être conquises. Une croissance dure, exigeante. À l´image de la fleur qui doit lutter pour croître, qui va vers la lumière. L´homme doit se faire petit à petit. Mettre en forme le meilleur. Rien n´est parfait au départ. Comment faire évoluer l´homme ? Pas de prosélytisme, pas de sermons. Par l´exemple. Par une longue patience attentive. Exposer sa manière de vivre.
- Vous dites : « Croyez seulement à ce que j´ai vu car je l´ai réellement vu. »[1]
- Mon travail, c´est regarder, témoigner avec précision de ce que je vois. Par exemple, j´aime décrire les très petits enfants, leurs yeux ouverts et étonnés, jouant avec leurs lacets de chaussures... La poésie n´est pas un genre littéraire, elle est l´expérience spirituelle de la vie, la plus haute densité de précision. La précision, c´est la sainteté de l´âme.
[1] « Ne croyez pas que je sois bon, sage ou même intelligent, croyez seulement à ce que j´ai vu car je l´ai réellement vu ». Ressusciter, p.167 (Gallimard, 2001)
Photo : Christian Bobin chez lui, près du Creusot
Cet interview a d´abord été publiée dans le numéro de juin 2011 de "Marcher ensemble", bulletin du diocèse d´Autun, Chalon et Mâcon, où habite Christian Bobin.
dimanche 9 octobre 2011
Michael Lonsdale et l'Amour
Le 6 octobre est paru L’Amour sauvera le monde (Philippe Rey), un choix très personnel qu’a fait Michael Lonsdale des plus belles pages de la littérature et de la poésie chrétiennes... En voici des extraits...
« Dostoïevski a écrit cette phrase devenue célèbre : “La beauté sauvera le monde.” J’ai longtemps nourri cet espoir, moi aussi, puisque la confiance en l’art a guidé ma vie de comédien et d’acteur.
Pourtant, de la beauté, j’ai ressenti les limites. Elle élève les sentiments, guérit, soulage, donne une raison d’avancer, de faire un effort sur soi-même. Mais elle ne peut pas retourner une âme, la diriger vers une lumière neuve.
Cela, seul l’amour le peut.
Oui, je le crois profondément, c’est l’amour qui changera le monde. Le véritable amour, celui qui unit Dieu à toute Sa création. Le jour où les hommes répondront à cet appel d’amour, ils en seront transformés, et le monde sera sauvé.
L’amour de Dieu permet de découvrir à quel point l’être humain est extraordinaire, quel qu’il soit. Chacun d’entre nous est une espèce de trésor, même si nous sommes mal fichus et par moments insupportables. C’est magnifique, une personne – magnifique, ce qu’il y a en elle de paix, de chagrin, de joie. Le genre humain est un sujet de contemplation pour moi, de plus en plus : je vois Dieu dans les êtres, je sais qu’Il est là, même si caché souvent, parfois enfermé, muré dans beaucoup d’individus qui ne Le connaissent pas et qui en souffrent. À ceux-là, je dis qu’il existe quelque chose qui peut leur changer la vie, les rendre plus heureux…
Si j’ai choisi de partager mes plus belles pages chrétiennes, c’est une manière pour moi de rendre hommage à ces hommes
et ces femmes – saints, moines, religieuses, prêtres, écrivains, personnes ordinaires – pétris de la parole du Christ, qui m’ont accompagné au long de ma vie. De saint Benoît et sa règle monastique à sœur Emmanuelle, militante si généreuse ; de saint Augustin à l’âme fervente au père Christian de Chergé et son cœur fraternel ; de Pascal et ses fulgurantes intuitions à sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus dans son abandon total au Christ, en passant par des écrivains chers à mon cœur – Villon, Chateaubriand, Hugo, Verlaine, Jammes, Claudel, Bobin… –, j’aimerais faire connaître leur lumière, leur foi, leur profonde sagesse humaine. »
Un acteur immense animé par la foi
Monument du cinéma français né en 1931, cet acteur s’est imposé dans les films de la nouvelle vague. Il a joué avec les plus grands et pour des productions internationales comme le Nom de la Rose ou le James Bond Moonraker. Récemment, son interprétation de frère Luc dans Des hommes et des dieux, grand prix du jury à Cannes en 2010, a bouleversé des millions de spectateur.
Il n’a jamais caché la foi qui l’anime et son engagement auprès de la communauté charismatique de l’Emmanuel.
« Dostoïevski a écrit cette phrase devenue célèbre : “La beauté sauvera le monde.” J’ai longtemps nourri cet espoir, moi aussi, puisque la confiance en l’art a guidé ma vie de comédien et d’acteur.
Pourtant, de la beauté, j’ai ressenti les limites. Elle élève les sentiments, guérit, soulage, donne une raison d’avancer, de faire un effort sur soi-même. Mais elle ne peut pas retourner une âme, la diriger vers une lumière neuve.
Cela, seul l’amour le peut.
Oui, je le crois profondément, c’est l’amour qui changera le monde. Le véritable amour, celui qui unit Dieu à toute Sa création. Le jour où les hommes répondront à cet appel d’amour, ils en seront transformés, et le monde sera sauvé.
L’amour de Dieu permet de découvrir à quel point l’être humain est extraordinaire, quel qu’il soit. Chacun d’entre nous est une espèce de trésor, même si nous sommes mal fichus et par moments insupportables. C’est magnifique, une personne – magnifique, ce qu’il y a en elle de paix, de chagrin, de joie. Le genre humain est un sujet de contemplation pour moi, de plus en plus : je vois Dieu dans les êtres, je sais qu’Il est là, même si caché souvent, parfois enfermé, muré dans beaucoup d’individus qui ne Le connaissent pas et qui en souffrent. À ceux-là, je dis qu’il existe quelque chose qui peut leur changer la vie, les rendre plus heureux…
Si j’ai choisi de partager mes plus belles pages chrétiennes, c’est une manière pour moi de rendre hommage à ces hommes
et ces femmes – saints, moines, religieuses, prêtres, écrivains, personnes ordinaires – pétris de la parole du Christ, qui m’ont accompagné au long de ma vie. De saint Benoît et sa règle monastique à sœur Emmanuelle, militante si généreuse ; de saint Augustin à l’âme fervente au père Christian de Chergé et son cœur fraternel ; de Pascal et ses fulgurantes intuitions à sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus dans son abandon total au Christ, en passant par des écrivains chers à mon cœur – Villon, Chateaubriand, Hugo, Verlaine, Jammes, Claudel, Bobin… –, j’aimerais faire connaître leur lumière, leur foi, leur profonde sagesse humaine. »
Un acteur immense animé par la foi
Monument du cinéma français né en 1931, cet acteur s’est imposé dans les films de la nouvelle vague. Il a joué avec les plus grands et pour des productions internationales comme le Nom de la Rose ou le James Bond Moonraker. Récemment, son interprétation de frère Luc dans Des hommes et des dieux, grand prix du jury à Cannes en 2010, a bouleversé des millions de spectateur.
Il n’a jamais caché la foi qui l’anime et son engagement auprès de la communauté charismatique de l’Emmanuel.
Source : La Vie
samedi 8 octobre 2011
Un conseil à nous donner... par Arnaud Desjardins
Le sage conseil vers le samadhi...
vendredi 7 octobre 2011
Histoire et conseils pour réussir vos soupes
L'automne est là et il est est temps de souper...
jeudi 6 octobre 2011
Maintenant est le temps de l'action avec Albert Blackburn

Lorsque la parole : "non pas ma volonté, mais que la Tienne soit faite" devient un mode de vie et non pas une idée à suivre, jamais un moment d'ennui ou de lourdeur ne se présente. Dans ces circonstances, le temps chronologique prend une autre signification : il est toujours « plus tard que nous ne pensons ». Le temps de l'action est maintenant ! Nos relations aux choses, aux gens et aux idées sont vues dans une nouvelle lumière. Certaines choses perdent leur importance — même si d'une autre façon, chaque petite chose peut être très importante."
Albert Blackburn, décédé en 1987, était un proche de Krishnamurti, et c'est l'enseignement de ce dernier qui est à l'origine de sa transformation intérieure. Il témoigne de celle-ci dans les ouvrages suivants :
Now Consciousness et Worlds beyond thought.
Voir ses ouvrages et ceux de sa femme. Gabriele Blackburn. qui témoigne aussi de la lumière de Krishnamurti et de l'investigation "intuitive" (The Light of Krishnanmurti, The nrystical spiritual Intuitive htyttiries, The Way of S'out), sur le site internet : http://www.idylwildbooks.com/
Cet article est un extrait inédit de The golden key of awareness, avec l'aimable autorisation de Gabriele Blackburn (3ème millénaire)
mercredi 5 octobre 2011
Découvrir les Fraternités de Jérusalem
Allons-nous encore aujourd’hui nous scandaliser et rester sur le palier ou oserons-nous franchir le seuil pour entrer avec lui dans le grand bouleversement de la Miséricorde ? Jésus se tient à notre porte, amenant une foule de pauvres de tout acabit, il veut s’inviter à la table de notre cœur et promet de servir lui-même le festin dont il sera également la nourriture… Allons-nous le laisser entrer, lui, et la foule qui est avec lui ? En nous ? Ce n’est pas du tout raisonnable, mais c’est le seul moyen pour que nous (re)trouvions enfin et notre cœur, et cette nourriture dont notre âme languit depuis si longtemps, et le Dieu véritable, plus grand, plus fou, plus sage que tout ce que nous avions pu oser imaginer.
Venez, tout est prêt ! (Lc 14,17).
Venez, tout est prêt ! (Lc 14,17).
Fraternités Monastiques de Jérusalem au Mont-Saint-Michel
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