vendredi 2 mai 2008

Le vide du sans arbres

Extrait du 'Forçat innocent', un poème de Jules Supervielle que Gérard Farasse, critique littéraire, jugeait parfait :


Proverbe Africain,
(cliquer pour faire changer le texte)

Quand un arbre tombe, on l'entend ;

1 commentaire:

Anonyme a dit…

magnifique proverbe qui pourrait s'adapter à bien d'autres choses.