Quelques extraits de ces lettres nous rappellent à notre liberté...
Octobre 1997 - Je crois que Dieu m'a maintenu en vie pour une raison. Je ne crois pas à la chance. Ce concept est un terme utilisé par les hommes pour éviter d'avoir à reconnaître l'existence de Dieu. Mais toutes les louanges Lui reviennent. Je tache de donner à chaque personne que je rencontre la joie, la patience, la compréhension et l'honnêteté que Dieu m'a données.
Novembre 1998 - Je n'ai peut-être pas la liberté physique, mais j'ai une paix intérieure et un amour que même la mort ne peut tuer. Je préfère être en prison avec Dieu que libre sans Lui
Mars 2000 - Je crois que nous sommes tous un, que nous sommes un avec tout, et que tout et tous sont un avec nous. Il n'y a plus de toi ou de moi, nous sommes le tout et le tout est en nous. C'est pour cela que lorsque je vois des choses qui ne sont pas justes, cela me fait mal, parce que ce qui est fait à une seule personne est fait à nous tous.
Février 2001 - Je ne me vois plus comme une victime des provocations de ces gens. Je me considère comme un être divin, capable d'accepter tout et tous et d'aimer chacun. Le bonheur n'est pas un état d'esprit. comme le pensent la plupart des gens, mais un état d'être. C'est devenir un avec tout ce qui est. Les gens s'enlisent dans toute une rhétorique religieuse et spirituelle. Pourquoi les gens compliquent-ils les choses, quand tout est vraiment simple ? L'amour, la vérité et le bonheur ne sont pas compliqués et ne sont pas destinés à l'être. Ils sont gratuits, légers et beaux.
Janvier 2006 - On ne peut jamais vraiment connaître le vrai chemin jusqu'à ce qu'on arrive à destination. Et quand nous arrivons là où nous pensons que nous devrions être, nous réalisons que nous y étions tout le temps.
Septembre 2006 - Si nos yeux sont remplis d'amour, notre vision est plus claire et nous sommes plus à même de voir les fautes du passé que nous rencontrons chez les autres et de tenter de régler les nôtres. La haine et le doute sont comme de la boue dans nos yeux et leur présence nous aveuglent.
Avril 2007 - A vivre ici, si longtemps, exclu du monde réel, l'esprit peut devenir un piège qui, lorsqu'il s'est refermé, ne permet plus d'en sortir. J'en ai été le témoin et moi-même la victime. Alors je ne le combats plus, je me permets d'exister dans un vide où le temps ne veut pas dire grand-chose. Ce qui dure des mois pour certains ne sont que des instants pour moi ; j'essaie d'étirer ceux qui en valent la peine.
En fin de compte la mort nous prend tous à la fin. Je crois que quel que soit le temps pendant lequel une âme est envoyée dans ce monde, même si c'est seulement pour une seconde, c'est un miracle à connaître.
Novembre 1998 - Je n'ai peut-être pas la liberté physique, mais j'ai une paix intérieure et un amour que même la mort ne peut tuer. Je préfère être en prison avec Dieu que libre sans Lui
Mars 2000 - Je crois que nous sommes tous un, que nous sommes un avec tout, et que tout et tous sont un avec nous. Il n'y a plus de toi ou de moi, nous sommes le tout et le tout est en nous. C'est pour cela que lorsque je vois des choses qui ne sont pas justes, cela me fait mal, parce que ce qui est fait à une seule personne est fait à nous tous.
Février 2001 - Je ne me vois plus comme une victime des provocations de ces gens. Je me considère comme un être divin, capable d'accepter tout et tous et d'aimer chacun. Le bonheur n'est pas un état d'esprit. comme le pensent la plupart des gens, mais un état d'être. C'est devenir un avec tout ce qui est. Les gens s'enlisent dans toute une rhétorique religieuse et spirituelle. Pourquoi les gens compliquent-ils les choses, quand tout est vraiment simple ? L'amour, la vérité et le bonheur ne sont pas compliqués et ne sont pas destinés à l'être. Ils sont gratuits, légers et beaux.
Janvier 2006 - On ne peut jamais vraiment connaître le vrai chemin jusqu'à ce qu'on arrive à destination. Et quand nous arrivons là où nous pensons que nous devrions être, nous réalisons que nous y étions tout le temps.
Septembre 2006 - Si nos yeux sont remplis d'amour, notre vision est plus claire et nous sommes plus à même de voir les fautes du passé que nous rencontrons chez les autres et de tenter de régler les nôtres. La haine et le doute sont comme de la boue dans nos yeux et leur présence nous aveuglent.
Avril 2007 - A vivre ici, si longtemps, exclu du monde réel, l'esprit peut devenir un piège qui, lorsqu'il s'est refermé, ne permet plus d'en sortir. J'en ai été le témoin et moi-même la victime. Alors je ne le combats plus, je me permets d'exister dans un vide où le temps ne veut pas dire grand-chose. Ce qui dure des mois pour certains ne sont que des instants pour moi ; j'essaie d'étirer ceux qui en valent la peine.
En fin de compte la mort nous prend tous à la fin. Je crois que quel que soit le temps pendant lequel une âme est envoyée dans ce monde, même si c'est seulement pour une seconde, c'est un miracle à connaître.
6 commentaires:
Merci pour ce partage. C'est un exemple édifiant qui nous montre que l'adversité ne peut servir de prétexte pour ne pas s'ouvrir à l'amour !
Merci de partager ce témoignage magnifique qui n'est pas sans évoquer une formule de Swami Prajnanpad : "Tout lieu est un lieu pour être".
Bien chaleureusement.
Il me fait penser bcq à Etty Hillesum.
Merci Acouphène.
merci beaucoup pour cette parenthèse d'amour que tu nous fais partager .
valentine
oui merci magnifique
Merci pour votre blog magnifique. J'ai également réagit suite à la lecture de l'article dans Source concernant Roger Mcgowen. Nous sommes un tout et le prolongement de ma liberté est en chaque humain et chaque partie de l'univers. Bonne journée à vous.
Jean-Yves
www.piffard.ch
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