Quel type d'éclairage pour nos intérieurs ?
La Citation du lundi
Il y a 5 heures
Où tout est brûlant de lumière...
C’est très important pour nous d’agir à un niveau local. En effet, parfois quand nous pensons aux problèmes mondiaux, nous nous sentons démunis. Mais lorsque nous agissons à un niveau local, alors nous sommes pleins de force.
Notre nature universelle est faite de joie, d'amour et de lumière. Elle ne saurait devenir un objet de vanité puisqu'elle existe sans que nous ayons à la mériter ni à faire quoi que ce soit. Sauf la découvrir, bien entendu. Pour cela, chacun est invité à détacher son regard des difficultés et des ombres qui traversent toute vie pour se réjouir de la partie lumineuse qui brille en soi au-delà de sa biographie. Ce qui est en jeu est un choix fondamental : celui de choisir ses états intérieurs. Et lorsqu'à certaines heures de certains jours, la joie est en soi, on se sent alors mystérieusement en lien avec l'univers et l'on sait que l'on répond par notre existence à la beauté et à la force de la vie.
À chaque saison ses trésors : au printemps, les jeunes pousses et les fleurs ; en été, les feuilles au goût plus prononcé ; à l’automne, les fruits et les racines.
Bernard Bertrand, auteur avec sa femme Annie-Jeanne de l’ouvrage les Grands Classiques de la cuisine sauvage, insiste sur l’intérêt de ces plantes. « Je pense qu’il en existe entre 100 et 200 espèces comestibles et savoureuses. Elles poussent en abondance, il n’y a donc aucun risque de surexploiter la ressource. On peut tout faire avec, et elles sont beaucoup plus variées que les espèces potagères. » Il constate : « La cuisine des plantes sauvages est comparable à la cuisine classique, mais il faut connaître la botanique. » Si vous débutez, ne vous lancez surtout pas tout seul dans la cueillette, certaines plantes ressemblent à des espèces comestibles mais peuvent être toxiques.
La vie est ainsi ; on réalise rarement dans l'instant que les moments difficiles ont une fonction cachée : nous amener à grandir. Les anges se déguisent en sorcières et nous délivrent de merveilleux cadeaux soigneusement enveloppés dans d'ignobles emballages.
"Aimer ses ennemis, c'est parfois commencer par aimer l’ennemi qui est en nous, par aimer cette part de nous-même dont nous tentons de nier l’existence : notre "ombre".
Mais ce processus, dont on pourrait dire qu'il fait barrage à la joie de vivre, permet cependant la vie, car on s'adapte de la même façon aux événements négatifs : lorsque l'on perçoit une odeur désagréable, par exemple, celle-ci va sembler s'évaporer, alors que nous nous y serons seulement habitués. II me semble donc vain de vouloir lutter contre ce processus aussi naturel qu'utile. Pour savourer la vie, je proposerais plutôt d'aller vers l'autre, ce partenaire humain unique.