La philosophie du moineau
Christian Bobin a étudié la philosophie. Et il l'a quittée. Les questions des philosophes n'étaient pas les siennes. « L'intelligence réelle, celle qui va nous aider, c'est celle qui naît d'un noyau concret, charnel de la vie, et elle n'a pas le tampon universitaire de la philosophie ».
L'écrivain avoue nourrir sa pensée par miettes, par fragments, comme un moineau. Il plaide également pour le bon sens, chose trop souvent ignorée à ses yeux aujourd'hui. « Le bon sens, c'est la grande lumière, c'est juste épouser ce qu'on voit ».
Christian Bobin lit un poème d'un de ses auteurs préférés. Des écrivains « plus que précieux, parce qu’ils parlent bien de la vie ». Et puis il rit.
Christian Bobin a étudié la philosophie. Et il l'a quittée. Les questions des philosophes n'étaient pas les siennes. « L'intelligence réelle, celle qui va nous aider, c'est celle qui naît d'un noyau concret, charnel de la vie, et elle n'a pas le tampon universitaire de la philosophie ».
L'écrivain avoue nourrir sa pensée par miettes, par fragments, comme un moineau. Il plaide également pour le bon sens, chose trop souvent ignorée à ses yeux aujourd'hui. « Le bon sens, c'est la grande lumière, c'est juste épouser ce qu'on voit ».
Christian Bobin lit un poème d'un de ses auteurs préférés. Des écrivains « plus que précieux, parce qu’ils parlent bien de la vie ». Et puis il rit.
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