mardi 29 décembre 2009

Retour vers "Le grand silence"...





 Dans un monastère particulièrement austère, celui de la Grande Chartreuse, au cœur des Alpes françaises, le réalisateur allemand Philip Gröning a passé six mois. Le film qu’il en a tiré présente un univers hors du temps, loin de la modernité. Le documentariste parle de sa démarche. 



5 commentaires:

Yog a dit…

Le chant de la félicité

Le regard se retourne sur lui-même
Le regardeur disparaît dans le Soi
Rien ne reste hormis le Soi lui-même

Quel ravissement que le son du vide
Quelle paix que le parfum de l'un
Quelle grâce que la lumière du rien

La félicité allège chacun
La félicité n'appartient à rien
La félicité et je sont un.

Si tu ne connais pas:
http://jmmantel.net/

Bonnes lectures!

Acouphene a dit…

Merci Yog !

Sourire a dit…

Super, quel beau cadeau! J'ai déjà regardé trois fois ce film, c'est une véritable méditation et tu me donnes envie de le revoir à nouveau. Le commentaire du réalisateur est magnifique! Comme il parle bien de leur liberté intérieure, superbe! Ca complète le film à merveille! Je le reverrai différemment! MERCI ERIC!!!

Acouphene a dit…

Merci Sourire !

Salammbô a dit…

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