Au moment où l’on voudrait en effacer le NOM, il œuvre sur l’« Ancien » et le fait disparaître.
Le Fils de l’Homme ne frappe plus à nos portes closes.
Il entre.
ARIGAH l’accueille et invite tous les siens à chanter et à danser en ce Noël, Celui qui nous reconduit tous à nous-mêmes, au divin.
Annick de Souzenelle.
****************
1 commentaire:
Je confirme. Oui, dans le silence d'Orval, je confirme.
Enregistrer un commentaire