Cet Américain médite chaque jour sur son lieu de travail, chez Google, et invite ses collègues à faire de même. Tout commence chez soi par quelques instants de silence.
«Chaque soir, j'expérimente deux minutes de pleine conscience avec ma fille » ’aimerais rendre la méditation aussi populaire que le jogging. Dans les années 1970, des scientifiques anglo-saxons ont souhaité promouvoir l’exercice physique auprès du grand public. Ils ont vulgarisé des études mettant en évidence les bienfaits pour la santé d’une activité régulière et ils ont imaginé des protocoles simples pour se remettre à courir. De nos jours, il existe un consensus pour vanter les bienfaits du sport, même si chacun ne pratique pas. Eh bien, j’aimerais contribuer à réaliser la même chose pour la méditation de pleine conscience. Si une personne aussi rationnelle que moi peut s’y mettre, alors tout le monde peut le faire !
Je plaide pour commencer par une expérience simple et légère de la méditation. Pour ma part, j’effectue un exercice chaque soir avec ma fille, durant deux minutes, ce qui correspond à la durée d’attention normale d’un enfant ou d’un ingénieur ! Il s’agit simplement de goûter à la joie d’être en vie et d’y goûter ensemble, et, au-delà, à la joie d’être... tout simplement d’être. Une belle façon de s’entraîner à faire attention à chaque instant, sans porter de jugement. Quand je présente cette méthode dans le cadre de mon travail auprès de mes collègues chez Google, je propose aussi deux approches : la facile et la “plus facile”.
La première consiste simplement à faire attention à sa respiration, en douceur, mais sans interruption, durant deux minutes. Concrètement, je suggère de commencer par prendre conscience que l’on respire, puis de demeurer attentif au processus de respiration. Chaque fois que l’attention s’égare, il suffit de la ramener doucement sur sa respiration. La méthode la “plus facile” consiste à rester assis tranquillement durant deux minutes, sans faire quelque chose de particulier. Le but est de passer du “faire” à “l’être”. Si ces expériences vous plaisent, allongez de quelques minutes ces temps de silence, en vous arrêtant dès que cela devient désagréable !
«Chaque soir, j'expérimente deux minutes de pleine conscience avec ma fille » ’aimerais rendre la méditation aussi populaire que le jogging. Dans les années 1970, des scientifiques anglo-saxons ont souhaité promouvoir l’exercice physique auprès du grand public. Ils ont vulgarisé des études mettant en évidence les bienfaits pour la santé d’une activité régulière et ils ont imaginé des protocoles simples pour se remettre à courir. De nos jours, il existe un consensus pour vanter les bienfaits du sport, même si chacun ne pratique pas. Eh bien, j’aimerais contribuer à réaliser la même chose pour la méditation de pleine conscience. Si une personne aussi rationnelle que moi peut s’y mettre, alors tout le monde peut le faire !
Je plaide pour commencer par une expérience simple et légère de la méditation. Pour ma part, j’effectue un exercice chaque soir avec ma fille, durant deux minutes, ce qui correspond à la durée d’attention normale d’un enfant ou d’un ingénieur ! Il s’agit simplement de goûter à la joie d’être en vie et d’y goûter ensemble, et, au-delà, à la joie d’être... tout simplement d’être. Une belle façon de s’entraîner à faire attention à chaque instant, sans porter de jugement. Quand je présente cette méthode dans le cadre de mon travail auprès de mes collègues chez Google, je propose aussi deux approches : la facile et la “plus facile”.
La première consiste simplement à faire attention à sa respiration, en douceur, mais sans interruption, durant deux minutes. Concrètement, je suggère de commencer par prendre conscience que l’on respire, puis de demeurer attentif au processus de respiration. Chaque fois que l’attention s’égare, il suffit de la ramener doucement sur sa respiration. La méthode la “plus facile” consiste à rester assis tranquillement durant deux minutes, sans faire quelque chose de particulier. Le but est de passer du “faire” à “l’être”. Si ces expériences vous plaisent, allongez de quelques minutes ces temps de silence, en vous arrêtant dès que cela devient désagréable !
2 commentaires:
Super,oui,ne pas forcer à faire mais commencer par le plus facile.
Est-ce que tu le fais avec tes enfants?
Non Philippe, ils sont en pleine adoslescence ;-))
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