J'ai vidé la page pour que tu puisses entrer.
Pour que tu t'habitues aux couleurs de chaque mot.
Assieds-toi près du centre, à côté de ma main. Demain je n'aurai pas fini.
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Le soir sur le chemin
je ne rejoins que mes pas
mais je sais
que plus loin
je suis aimé par un ruisseau.
Thierry Metz - Lettres à la Bien-aimée et autres poèmes
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