Hier matin, j'ai assisté à l'enterrement d'une collègue avec qui j'ai pu partager de beaux moments au travail.
J'ai touché le cercueil.
Hier soir, j'ai vu ce film où il est question également de cercueil mais où l'on ouvre notre boîte corporelle pour faire sortir la vie. On accueille alors ce qui est là, sans jugement. J'ai pu ressentir que ce sont notamment nos souffrances qui font notre identification. Du corbillard au corps billard qui se laisse toucher par les chocs sans que cela l'empêche d'avancer.
Pouvoir lâcher nos nuages permet d'entrevoir un ciel presque totalement bleu où l'on peut se relier à plus vaste que soi.
Je vous conseille ce film !
------------
1 commentaire:
Merci, Eric, de ce témoignage touchant, et de ce rappel qu'on peut toujours se relier "A plus vaste que soi"
Enregistrer un commentaire