D’autre part, quand vous avez un problème avec un événement extérieur, ce qui est important, ça n’est pas la relation entre vous et les événements extérieurs, mais la relation entre vous et vos pensées à propos de cet événement : comment est-ce que je pense ? Est-ce que ma pensée est nourrie par l’émotion ou est-ce qu’elle regarde tranquillement tous les aspects de la réalité ?
… En communion avec vous
Arnaud
Sans réprimer, sans nier, il est possible de tenter de mettre fin
à des chaînes de pensées qui veulent s’imposer à nous exactement comme nous zapperions
un programme de télévision : nous zapperions plutôt que de rester
esclavage d’un programme particulièrement dégradant ou débile. Cette
observation lucide de nos pensées est une grande sadhana et assez vite
on se prend au jeu.
Cela ne devient plus fastidieux mais passionnant. Certaines pensées
sont totalement justifiées parce qu’elles préparent une action, c’est ce que
nous appelons voir. D’autres sont inoffensives, même si elles n’ont rien de
spirituel. D’autres sont nuisibles.
Souvenez-vous d’une parole attribuée au Bouddha : « celui
qui est le maître de ses pensées est plus grand que celui qui est le maître du
monde. »
Je suis en communion
avec vous.
Arnaud
Anne,
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