A mes débuts, je ne voulais aucun temps mort. J’insistais sur chaque phrase, chaque mot.
Avec le Cercle des poètes disparus, j’ai compris que l’on pouvait communiquer, sans crier, sans gesticuler, sans imiter quelqu’un.
Comme dit mon personnage : « Les idées peuvent changer le monde. Un verbe, trois mots, une chanson, un poème ».
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