jeudi 21 octobre 2010

Matthieu Ricard nous aide à méditer

Matthieu Ricard est un moine boudhiste. Céline Galipeau s'est entretenue avec lui à propos des bienfaits de la méditation. Respirons en l'écoutant...

mercredi 20 octobre 2010

Alexandre Jollien et le philosophe nu

Ecoutons le philosophe de la joie... pour mieux nous connaître...

Source : La grande librairie

mardi 19 octobre 2010

Sagesses bouddhistes avec Matthieu Ricard

Matthieu Ricard nous invite à un cheminement philosophique et spirituel, au travers des plus beaux textes de grands maîtres, d’enseignements et des paroles du Bouddha. Textes qu’il traduit depuis 35 années maintenant et dont il nous fait partager toute la richesse spirituelle et humaine.

lundi 18 octobre 2010

Philosophons avec Alexandre Jollien

Le philosophe suisse Alexandre Jollien vient de faire paraître "Le philosophe nu", son quatrième essai, aux Éditions du Seuil. L'auteur-compositeur-interprète Thomas Hellman fait la lecture d'extraits de ce livre.
Soutenu par des parents unis et aimants, le philosophe marche à 8 ans, fait du vélo à 16 ans, et à 23 ans, se lance dans des études de philosophie. Il a aussi sauté en parachute!...
« C'est dommage qu'on attende d'être en souffrance pour s'intéresser à la spiritualité », souligne Alexandre Jollien, qui pratique le bouddhisme.
Né avec le cordon ombilical autour du cou et privé d'oxygène à la naissance, Alexandre Jollien est atteint d'athétose, une forme de paralysie cérébrale.

Voir tous les articles sur Alexandre Jollien

dimanche 17 octobre 2010

Le soufisme par le Cheikh Khaled Bentounes

Une belle rencontre avec le soufisme vous est proposée. Bon dimanche !

À 60 ans, Khaled Bentounes est devenu un sage. Il a en main les clés du mystère divin, « l'amour de l'autre », et en mémoire les derniers mots de son père : " Patiente et fais patienter. Ce qui te paraît amer maintenant sera peut-être doux demain." (conclusion d'un article de Sud ouest)


Association internationale soufie Alawiya
Le soufisme du maître marocain Sidi Hamza
La revue du Soufisme en Orient et en Occident

samedi 16 octobre 2010

Identification avec Hélène Naudy

ETRE ET NE PAS ÊTRE IDENTIFIÉ, DEUX ATTITUDES DIFFÉRENTES 
Etre identifié à nos émotions et laisser s'exprimer nos émotions tout en les accompagnant, tout en les ressentant sont bien deux "attitudes" différentes que nous pouvons observer, constater en nous-même. Dans la première, nous sommes en quelque sorte assujetti, esclave et inconscient de l'émotion qui s'exprime en nous-même, dans la seconde, nous sommes témoin bienveillant, nous reconnaissons et accompagnons l'émotion qui s'exprime, nous apprenons à voir dans quel événement passé (enfance, petite enfance, adolescence) elle s'inscrit. 


Dans la première, nous aurons le désir de nous libérer de nos émotions, de guérir, nous aspirerons à la tranquillité (surtout s'il s'agit de la colère, de la tristesse, de la dépression, de la haine), dans la seconde, nous sommes installés dans le ressenti et qui dit ressenti dit écoute, abandon et discernement. La difficulté est de nous rendre compte à quel point nous sommes la plupart du temps inconscient (de l'inconscience) de ce qui se manifeste en nous et donc assujetti à notre inconscient. 


Pourquoi est-ce une difficulté ? Parce qu'il s'agit justement d'avoir conscience de notre inconscient, inconscient qui renferme des souvenirs que nous voulons justement oublier, que nous refusons de reconnaître parce qu'en lien avec une souffrance voire une détresse passée mais aussi parce qu'ayant été jugés par nos parents, le maître d'école, le voisin..., toutes personnes qui, à nos yeux d'enfant représentaient l'autorité et des référents, donc des modèles. Les termes : « ça va passer », « va marcher, ça te fera du bien », « avec l'âge, tu verras, tu seras plus paisible », « calme-toi, voyons ! », témoignent de notre ignorance, dans le sens ici où nous sommes pris par l'idée que nous devrions être tranquille, tout au moins, différent de ce que nous manifestons, là, alors que (par exemple) la rancune arrive au galop.


L'idée que nous devrions ne pas être identifié, l'idée qu'être non-identifié est plus évoluée qu'être identifié font aussi partie d'une forme d'ignorance, étant un point de vue provenant d'un jugement, lui-même résultant d'une identification, dans ce dernier cas, une identification à un mécanisme de comparaison, celui d'être plus ou moins évolué. Alors, la difficulté sera de se rendre compte combien, lorsque nous nous observons et nous regardons, nous nous jugeons. Qui sont ces "nous" ? C'est le témoin en nous, mais un témoin jugeant.


Site de Hélène Naudy

vendredi 15 octobre 2010

Paul de Tarse

La conversion de saint Paul
Chargé par l'autorité romaine au nom du sanhédrin de réduire les communautés chrétiennes d'Asie Mineure, il se rendait à Damas lorsque le Christ lui apparut, le questionnant ainsi : «Saul, pourquoi me persécutes-tu ?» Ebloui, il reste pendant trois jours sans pouvoir recouvrer la vue. Les Actes des Apôtres racontent que Jésus, dans une vision, dépêcha alors auprès de lui un chrétien du nom d'Ananias qui le guérit immédiatement. Cet épisode du chemin de Damas sera décisif pour Saul : débarrassé de sa cécité symbolique, il a l'impression que des écailles lui sont tombées des yeux ; il se fait aussitôt baptiser puis gagne Damas pour annoncer dans les synagogues que Jésus est bien le «fils de Dieu».
Persécuté à son tour par les juifs, il doit quitter clandestinement la ville en 39, dissimulé dans un panier que ses amis feront descendre le long du rempart. Il se rend alors à Antioche et à Jérusalem, où il entre en contact avec Pierre et les autres apôtres.
Entre 43 après J.-C., date de son arrivée à Antioche, avant son départ pour la première mission, et 63, date de sa libération de la prison romaine (qui est le dernier événement connu de sa vie), Paul passe beaucoup de temps sur les routes (Asie Mineure, Chypre, Grèce et Italie), avec quelques haltes importantes. Il abandonnera à Chypre le nom juif de Saul pour celui de Paul.

jeudi 14 octobre 2010

Secret de la Vie avec Eckhart Tolle

Le secret de l'art de vivre, le secret du succès
et du bonheur se résume à cinq mots: 
Faire un avec la vie. 
Faire un avec la vie, c'est faire un avec le moment présent. 
À ce moment-là, vous réalisez que ce n'est pas vous qui vivez votre vie, 
mais la vie qui vous vit.
La vie est le danseur et vous, la danse.
Eckhart Tolle

mercredi 13 octobre 2010

mardi 12 octobre 2010

Les étapes de l'enluminure... pour redorer l'instant

L'enluminure est une peinture ou un dessin exécuté à la main, qui décore ou illustre un texte la plupart du temps un manuscrit :

lundi 11 octobre 2010

Christiane Singer : « Chaque matin, entrer en vie consciente »


« La vie est à tout instant gorgée de sens, de substance, d’intensité. Le seul obstacle… c’est moi. C’est mon opacité. Morosité, frustration, stress, conformisme, somnolence, tout cela forme écran à la lumière du sens. Il ne s’agit donc pas de “donner du sens”, mais de créer en moi les conditions pour accueillir sa clarté, de me rendre peu à peu poreuse, poreuse au vivant ! Et comment ? Ah oui – comment ? L’âme est inventive quand le grand boss qui la chevauche lâche enfin les rênes ! J’ai pour ma part de multiples, de sévères, de joyeuses pratiques pour semer mes poursuivants – tous ces “obscurcisseurs” d’âme que sont les commentaires, les jugements, les logorrhées mentales ! J’en évoquerai une, modeste et obstinée, têtue, remise jour après jour sur le métier. […]
Chaque matin, au moins une heure avant que le reste de la maisonnée ne s’éveille, j’essuie les vitres ternies, je nettoie tous les serpentins et l’alambic encrassés en moi. Une visite méditative de tout le corps, de la pointe des pieds à la pointe des cils, un voyage de conscience et de respiration à travers tous les espaces. Le bon moment pour s’arrêter est atteint lorsque toutes les cellules vibrent. Vient ensuite la lecture d’un poème d’Hölderlin ou de Novalis, d’un paragraphe d’Epictète ou de Marc Aurèle – et le la est donné. L’aube se lève. Cette entrée en vie consciente – chaque jour – est ma marotte et mon talisman. »
Romancière, essayiste, Christiane Singer n’en finit pas d’explorer les profondeurs de l’âme.

Bonne semaine

samedi 9 octobre 2010

Christiane Singer et le symbole (4/4)

Un silence inédit à la télé... Dernières leçons extraordinaires d'un fleuve, d'un laisser passer...