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vendredi 4 octobre 2024

Présumer de l'intention sur la voie

 PRESUMER DE L'INTENTION SUR LA VOIE (extrait du "Carnet")

Evaluer l’intention, la véritable intention, d’une personne, est extrêmement délicat.
L’une des erreurs d’appréciation que j’estime avoir commise à plusieurs reprises consiste ,par une manière de naïveté, à présumer de l’intention d'une personne et, de ce fait, de tenter diverses approches pour l'amener vers une ouverture à laquelle elle n’est en vérité pas disposée, dont au final elle ne veut surtout pas.

Dans la mesure où chacun, y compris l’ élève le plus déterminé, connait des moments de résistance, parfois vive, la résistance étant partie intégrante du processus, l’instructeur a tôt fait de ne voir que résistance momentanée là où en vérité il n’y a pas d’intention, juste une aspiration naturelle à « aller mieux » , à se sentir validé.
En pareil cas, présumant d’une intention qui en réalité n’est pas, interprétant comme résistance momentanée ce qui en vérité procède d’une fin de non recevoir, l’instructeur est susceptible, pas par sadisme mais consécration mal ajustée, de verser dans une forme d’acharnement.
Tel un médecin se livrant à l’acharnement thérapeutique sur un patient dont le projet plus ou moins conscient n’est plus de vivre mais de mourir, l’instructeur va donner dans l’acharnement pour ainsi dire ontologique, s’épuiser, au final en pure perte, à combattre pied à pied chez l’élève une dynamique qui n’exprime pas de simples résistances mais une détermination plus ou moins consciente à ne pas grandir.
On verse alors dans le malentendu et une dynamique de travail en fin de compte stérile.
La « responsabilité » en est partagée.
C’est à l’instructeur qu’il revient de savoir évaluer la demande de l’élève, le degré et la nature de son intention, de manière à ne pas en présumer.
Et il incombe à l’élève, en tout cas à partir d’un certain stade dans la relation, de ne pas s’imaginer pouvoir « jouer au plus malin » avec l’enseignant, autrement dit de le manipuler, obtenir de lui ou d’elle une forme ou une autre de bénéfice sans pour autant pleinement s’investir.
Du moins en cas de « LDI » de lien à durée indéterminée.

Gilles Farcet
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mardi 29 mars 2022

Responsabilité


 "Prendre la responsabilité de sa vie : voilà la preuve qu’une personne est devenue pleinement adulte . Il n’y a rien ni personne à blâmer, ni ses origines ni ses ancêtres ni ses parents ni le sort ! Prendre la responsabilité de sa vie, c’est dire oui. Oui à ce que je suis, oui à ce que j’ai vécu, oui à ce qui vient ! Ce serait tellement plus confortable de pouvoir trouver des excuses, de blâmer quelqu’un d’autre ! Parfois, cela semblerait plus normal , car d’autres ont reçu plus et mieux. Pourquoi n’ai-je pas eu les mêmes chances ? Cette question reste ouverte. À première vue, rien n’est équitable dans la vie. Il se peut que la question à se poser soit autre : que puis-je réaliser avec ce que j’ai reçu ? Quelle attitude, quelle manière de vivre puis-je adopter pour transformer les obstacles sur ma route en tremplins pour m’élever ? Être capable et désireux de prendre la responsabilité de sa vie, c’est ce qui fait la grande dignité de l’aventure humaine !"

Rosette Poletti et Barbara Dobbs

Art ; Bernard Buffet

dimanche 11 juillet 2021

Apprécier notre humanité commune

 

Il est important de prendre conscience de l’interdépendance de tous les êtres et du monde qui nous entoure. Pour leur permettre de renforcer le sentiment d’être connecté au monde et à l’ensemble des êtres, le psychologue et thérapeute, Paul Gilbert, spécialiste de l’auto-compassion et de la compassion, propose à ses patients des visualisations comme celle-ci:

“Je vous invite à imaginer devant vous une mer d’un bleu superbe, chaude et calme, qui vient caresser une côte sablonneuse. Imaginez que vous vous tenez tout simplement debout avec de l’eau glissant agréablement sur vos pieds. Et maintenant, levant les yeux vers l’horizon, imaginez que cette mer est ici depuis des millions d’années, et qu’elle est, depuis, une source de vie. Elle a vu bien des choses dans l’histoire de la vie, et elle sait bien des choses. Maintenant, imaginez que cette mer vous accueille pleinement pour ce que vous êtes, qu’elle connaît vos combats et vos peines. Laissez s’établir entre vous et la mer, avec son pouvoir et sa sagesse, un lien privilégié, tout en acceptant pleinement ce que vous êtes.”

La compréhension de cette interdépendance universelle est la source même de l’altruisme le plus profond. En comprenant à quel point notre existence physique, notre survie, notre confort, notre santé, etc. dépendent des autres et de ce que nous fournit le monde extérieur –remèdes, nourriture, etc.–il devient facile de nous mettre à leur place, de vouloir leur bien-être, de respecter leurs aspirations et de nous sentir intimement concernés par l’accomplissement de ces aspirations.

Comment peut-on alors ne pas prendre soin des équilibres naturels qui se sont mis en place au fil des millénaires ? Il est nécessaire, aujourd’hui plus que jamais, de reconnaître l’incroyable richesse et la subtilité des liens d’interdépendance qui associent tous les acteurs et les forces dynamiques de la Nature.

Je souhaite vous partager un exemple très inspirant, que m’ont raconté mes amis de Karuna-Shechen, l'association humanitaire que j’ai co-fondée. Depuis cette année, Karuna étend ses programmes à une région très isolée du Népal, celle de la vallée de Ruby, nommée ainsi en référence à la pierre précieuse, car des gisements s’y trouveraient. Là-bas, des populations Tamang et Dalit cohabitent : c’est avec émerveillement que nos salariés sur le terrain ont rencontré ces familles de descendance tibétaine vivant en quasi autarcie. Éloignées des structures de santé et d’éducation, mais aussi des fournisseurs alimentaires, ils vivent nécessairement en harmonie avec leur environnement. Les animaux notamment y ont une place centrale : les locaux en rient eux-mêmes, disant que chez eux, il y a plus d’animaux que d’humains !

Ces populations ont ainsi une conscience accrue du lien qui les lie, eux les humains, avec tous les autres êtres vivants avec qui ils cohabitent. Ils cultivent la terre de manière durable et écologique, pour la préserver et leur garantir des vivres, pour eux mais aussi pour les générations futures. Ils élèvent et soignent leurs animaux, qui leur apportent du lait et leur permettent de cultiver les champs. Lorsqu’on demande à ces personnes si elles ne préfèreraient pas vivre dans un lieu plus proche de la ville, et de ses infrastructures, on répond : “pourquoi aller ailleurs, quand la terre ici nous apporte tout ce dont on a besoin ?”

Que peut-on retenir de personnes rencontrées dans la Ruby Vallée ? Il est indispensable de prendre conscience de l’interdépendance de toutes choses et d’assimiler cette vision du monde, de sorte que notre manière d’agir s’en trouve transformée. L’altruisme et la compassion sont intimement liés à cette compréhension de l’interdépendance, qui permet de mettre à bas le mur illusoire que nous dressons entre « moi » et «autrui », entre « je » et « nous », et nous rend responsables de notre terre et de ses habitants.

Comme l’explique le Dalaï-lama : Acquérir un sentiment de responsabilité universelle – percevoir la dimension universelle de chacun de nos actes et le droit de tous au bonheur et à la non-souffrance –, c’est acquérir une attitude d’esprit qui, quand nous voyons une occasion d’aider autrui, nous porte à la saisir plutôt que de nous soucier uniquement de nos petits intérêts personnels.


Matthieu Ricard
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dimanche 23 mai 2021

Comment s'accomplir au travail par Astrid Hannecart


Très impliquée à promouvoir une finance sociale et solidaire, la jeune femme nous détaille comment elle s'implique au quotidien. 


1- Trouver son moteur

Partir de ses désirs, de ses aspirations, de ses envies, de ce que l'on aime faire permet d'avoir l'impulsion qui met en mouvement. Tout l'enjeu est de trouver son moteur en lien avec ses compétences. Avec les talents que le Seigneur a donnés à chacun et que tous, nous sommes appelés à faire fructifier. Le fait d'identifier ses valeurs et de les hiérarchiser est un bon moyen pour ancrer sa motivation et tenir sur la durée.

2- Chercher le sens

Pouvoir se poser la question du pourquoi, de la finalité et y répondre, est un bon indicateur sur la direction à prendre. La question du sens met en perspective et peut conduire à sortir des sentiers battus. Il ne suffit pas de trouver une utilité à son travail pour pouvoir s'y accomplir, il faut y trouver du sens ! J'en ai fait l'expérience pendant mon alternance.

3- Être aligné

L'alignement entre ses convictions, ce que l'on est profondément d'une part, et son activité professionnelle d'autre part, est une puissante source pour donner le meilleur de soi-même et être libre, car c'est trouver sa place. Le choix rend libre, même si « choisir, c'est renoncer ». L'alignement se traduit aussi au niveau des valeurs portées par la structure dans laquelle on travaille. Il est important de pouvoir s'identifier à la vision de cette activité professionnelle et de la partager avec ses collègues. Les bonnes relations humaines au travail sont essentielles.

4- Assumer ses choix

« N'ayez pas peur ! », disait le pape Jean Paul II. L'aventure nous fait grandir. Oser voir grand permet d'avoir une grande vie. Un salaire ajusté n'est rien à côté de toute la richesse d'une activité qui porte du fruit, « et un fruit qui demeure » (Jean 15, 16). Le travail idéal n'existe pas, car il y a toujours des arbitrages à mener, et qu'il faut assumer. C'est une question de responsabilité, où il est important d'être bon dans ce que l'on fait.

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Source : magazine la Vie mai 2021

samedi 13 février 2021

Nouvel an chinois



L’année chinoise du Boeuf commence le 12 février 2021. Avec le Bœuf de métal comme nouvelle égérie de l’année chinoise, il va falloir se remettre au boulot et ne pas trop tergiverser avec les valeurs traditionnelles et terriennes (comme le travail, la famille, la prudence, la constance, ou la persévérance). Pas question de rêvasser, d’oublier ses responsabilités, de se la couler douce ou de brusquer les choses, cette année : il faudra plutôt assurer, consolider et/ou construire ! Ce Bœuf-là nous rappelle (à l’instar de Jean de La Fontaine) que “Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage”.

source : Marie Claire
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samedi 16 mai 2020

Nourritures...


« Les élites sombres sont très effrayées, elles savaient que l'humanité était en train de s'élever à une vibration très élevée mais elles n'étaient pas conscientes à quel point, ni de la quantité d'âmes éveillées, qu'il y a maintenant. Ces élites ne se cachent plus, leurs attaques sont directes et frontales, beaucoup ne le voient pas encore, mais cela ne signifie pas que ce n'est pas réel. Leurs attaques vont augmenter, elles vont essayer par tous les moyens de faire en sorte que les gens ne se réveillent pas, que les éveillés ne puissent pas communiquer, qu'ils soient vu comme des fous ou des délinquants. Mais quoi qu'ils fassent, peu importe, le saut quantique s'est déjà produit et c'est inarrêtable.
L'humanité considère déjà les animaux comme ses semblables, elle respecte déjà la Mère Terre, elle comprend qu'il n'y a pas de séparation. Les âmes incarnées arrivent déjà en tant que maîtres - pas pour expérimenter - s’incarnent par Amour. Il est possible que nous soyons témoins du changement total ou pas, il est possible que la transition dure une semaine ou 300 ans, mais il est imparable. Faites ce que vous voulez durant la transition, souvenez vous que vous vous êtes offert à être ici et maintenant, vous êtes les instigateurs du changement, quoi qu'il arrive, quoi que vous voyez, vous avez votre part de responsabilité.
Une seule chose vous est demandée, seulement une, ne soyez pas de la nourriture.
C'est la seule chose à faire, c'est aussi simple que cela. L’être humain, entre autres choses, est l'un des générateurs les plus puissants qui existe. Nous sommes des tourbillons, en fonction de la polarité avec laquelle tu t’alignes, tu crées une fréquence ou une autre. Ces entités se nourrissent de la fréquence négative, nous les avons nourris durant des millénaires. L'éveil de l'humanité incline le tourbillon collectif vers le pôle positif, par conséquent elles attaquent avec une telle férocité qu'elles sont en train de mourir de faim. Probablement tu le savais déjà, ou peut-être que c'est la première fois que tu reçois ce message, peu importe. Demande toi si ça résonne en toi, ne crois rien. Connecte-toi avec ton âme et observe, si ton âme te dit que c'est vrai, ne perds pas une seconde de plus de ton existence à leur servir de nourriture. Élimine les passions basses de ta vie, haine, rancœur, envie, peurs, vices, aliments provenant de la souffrance d'un autre être, mensonges, ambition, égoïsme, tristesse, méfiance, tout ça génère des énergies négatives, de la nourriture pour les ténèbres. Sois conscient de tes émotions et si dans certaines occasions tu te sens ainsi, change ton énergie. Mets une musique qui t’élève et chante, danse, respire, allume un feu, embrasse tes chats, ton chien ou ton animal de compagnie, sors dans la nature ou dans un parc, médite, fais de l'exercice, fais ce qui est nécessaire pour changer tout de suite cette énergie parce qu'elle est en train de servir de nourriture.
Sois toujours conscient, n'alimente pas les forces obscures.
Alimente ton âme avec tout ce qui t'aide à t'élever. Si tu t'habitues à vivre dans la fréquence de l'amour, ta réalité changera à ta volonté sans effort, c'est imparable, tu es un être puissant.
N'aie pas peur, libère ton esprit de la matrice, concentre ton attention sur ce que tu veux plus que tout, profite, sois heureux, souris, chante, danse, aime !
Ferdinand Desnos 1901-1958
champs de coquelicots sous le soleil

JE SUIS LA PORTE OUVERTE QUE RIEN NI PERSONNE NE PEUT FERMER.
JE SUIS LA SANTÉ PARFAITE DANS CE CORPS PARFAIT QUE DIEU A CRÉÉ POUR MON ÂME.
JE SUIS LE CERCLE MAGIQUE DE PROTECTION INVINCIBLE AUTOUR DE MOI, QUI REPOUSSE TOUT ÉLÉMENT PERTURBATEUR ET TOUT DANGER QUI ESSAYE DE PÉNÉTRER POUR ME NUIRE.
JE SUIS LA PERFECTION DANS MON MONDE. »

Alejandro Jodorowsky
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samedi 20 janvier 2018

Ma déclaration de responsabilité face à la vie


1- J'accepte complètement et sans aucune arrière pensée que tout ce qui s'est produit dans ma vie, et ce qui arrive en ce moment dans mon existence, et tout ce qui peut se produire dans l'avenir, me fournit des occasions précieuses pour apprendre et grandir. Personne d'autre n'est à blâmer pour la négativité ou la douleur dont la nature émotionnelle fait l'expérience. Je ne chercherai aucune exception à cette croyance, même quand la cause apparente de mon problème est totalement indépendante de moi.

2- Je chercherai à toujours assumer entièrement ma responsabilité, tout en refusant la culpabilité. Plutôt que de chercher des excuses pour ce qui marche mal, je m'efforcerai de comprendre ce qui se passe, puis chercherai des moyens pour corriger la situation. J'assume la responsabilité entière de mes choix. J'affirme que nulle personne ou situation ne peut me faire sentir inférieur(e), rejeté(e), inadéquat(e) sans mon consentement, et que j'ai le libre choix de donner ou de refuser ce contentement.
 

3- Je refuse la croyance au hasard, qui est un des principaux mécanisme de déresponsabilisation dans notre culture. Je suis conscient que que je crée ma propre réalité par ma façon d'accueillir et d'interpréter les évènements de la vie. Je chercherai systématiquement les moyens et les solutions plutôt que les excuses et les refuges. Je préfèrerai l'ouverture et le risque plutôt que la passivité et la sécurité.

4- Je choisis de me respecter totalement, en toutes circonstances, quelques que soient les erreurs que je puisse commettre, et d'accorder ce même respect à toute forme de vie - humaine, animale ou végétale - que je rencontre.

5- Je dis OUI à la vie, OUI, OUI et encore OUI.

Extrait de "Plus jamais victime" - Pierre Pradervand



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lundi 16 novembre 2015

vendredi 5 septembre 2014

Ma déclaration de responsabilité face à la vie


J'accepte complètement et sans aucune arrière pensée que tout ce qui s'est jamais produit dans ma vie, ce qui arrive en ce moment dans mon existence et tout ce qui peut se produire dans l'avenir me fournit des occasions précieuses pour apprendre et grandir. Personne d'autre n'est à blâmer pour la négativité ou la douleur dont ma nature émotionnelle fait l'expérience. Je ne chercherai aucune exception à cette croyance, même quand la cause apparente de mon problème est totalement indépendante de moi.

Je chercherai à toujours assumer entièrement ma responsabilité, tout en refusant la culpabilité. Plutôt que de chercher des excuses pour ce qui marche mal, je m'efforcerai de comprendre ce qui se passe, puis chercherai des moyens pour corriger la situation. J'assume la responsabilité entière de mes choix. J'affirme que nulle personne ou situation ne peut me faire sentir inférieure), rejeté(e) inadéquat(e) sans mon consentement - et que j'ai le libre choix de donner ou de refuser ce consentement.

Je refuse la croyance au hasard, qui est un des principaux mécanismes de déresponsabilisation dans notre culture. Je suis conscience) que je crée ma propre réalité par ma façon d'accueillir et d'interpréter les événements de la vie. Dans toutes les circonstances de la vie, je chercherai systématiquement les moyens et les solutions plutôt que les excuses et les refuges. Je préférerai l'ouverture et le risque plutôt que la passivité et la sécurité.

Je choisis de me respecter totalement, en toutes circonstances, quelles que soient les erreurs que je puisse commettre, et d'accorder ce même respect à toute forme de vie - humaine, animale ou végétale - que je rencontre.

Je dis OUI à la vie, OUI, OUI et ENCORE OUI.

Pierre Pradervand
"Plus jamais victime. Victime ou responsable, je choisis”
Éditions Jouvence 2001 Senève

jeudi 4 septembre 2014

Victime ou responsable


La personne responsable agit - 
la victime réagit.
La personne responsable cherche la solution des problèmes - 
la victime voit immédiatement le problème dans la solution proposée.
La personne responsable a toujours un programme - 
la victime avance sans cesse des excuses.
La personne responsable dit : Je m'en occupe" et le fait -
la victime clame : “Ce n'est pas mon affaire"
La personne responsable dit : "Ce n'est pas facile, mais c'est possible" - 
la victime se lamente : "C'est peut-être possible, mais c'est trop difficile"
La personne responsable est disponible - 
la victime est toujours surchargée.

Je dis OUI à la vie, OUI, OUI et ENCORE OUI.

Pierre Pradervand
"Plus jamais victime. Victime ou responsable, je choisis” 
Éditions Jouvence 2001 Senève

lundi 22 avril 2013

Compassion aussi pour la Terre...

Le 22 avril, c’est la Journée Mondiale de la Terre, journée célébrée par plus de 500 millions de personnes dans 184 pays. Créée en 1970, elle a pour objectif d’inciter les jeunes à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l’environnement.


Lorsqu'enfin je pris le temps de regarder le coeur d'une fleur,
un monde tout nouveau s'ouvrit... 

un monde où chaque promenade dans la campagne est une aventure, 
où chaque jardin est un enchantement...
comme si une fenêtre s'était ouverte pour laisser entrer le soleil.
Grace de Monaco (1929 - 1982)