La méditation, proposée par Dürckheim à son retour du Japon (1947), est un exercice
indissociablement corporel et spirituel. Il s’agit « du corps que l’homme – est –, cet ensemble de
gestes, d’attitudes, à travers lesquels l’homme prend forme et se réalise ». (K.G.D.)
Il s’agit de la méditation sans … préméditation ! Méditation sans objet et sans but. Mais alors, à quoi bon méditer ? Parce que méditer sans but n’est pas sans effet… Comment apprendre à méditer ? Il n’est possible d’apprendre à méditer qu’en méditant.
Pas besoin d’un savoir ou d’un savoir-faire préalable. De la même manière que l’enfant de quinze mois (que chacun de nous a été) n’apprend pas à marcher afin d’arriver à marcher ! L’enfant apprend à marcher … en marchant selon les intentions du corps vivant (Leib). Rien de plus simple.
Commencez ! Il suffit de s’asseoir dans la tenue et la forme la plus juste qui soit pour un être humain et, dans l’absolue immobilité, sentir le va-et-vient du souffle, ce geste de la vie qui participe à l’acte de vivre sans que « moi » (le moi pensant, le mental) y soit pour quelque chose. C’est à travers la pleine attention, à ne pas confondre avec la conscience ‘’de‘’, que la méditation va vous apprendre à devenir celui, celle, que vous êtes au plus profond de l’être.
Voici ce que Dürckheim nous disait, lorsqu’il accompagnait celles et ceux qui, avec lui, pratiquaient la méditation de pleine attention pour la première fois ou depuis vingt ou trente ans :
« La beauté d’un geste a deux sources : le geste inné ou le geste parfaitement maîtrisé. Dans les deux cas le geste n’est pas, ou n’est plus, un « fait » par l’homme. C’est une action qui émane de sa vraie nature, de sa propre essence, et exprime la vérité profonde de celui qui la réalise »
« La beauté d’une attitude a deux sources : l’attitude innée ou l’attitude parfaitement maîtrisée. Dans les deux cas l’attitude n’est pas, ou n’est plus, un « fait » par l’homme. C’est une action qui émane de sa vraie nature, de sa propre essence, et exprime la vérité profonde de celui qui la réalise »
« La beauté de la forme a deux sources : la forme innée ou la forme parfaitement maîtrisée. Dans les deux cas la forme n’est pas, ou n’est plus, un « fait » par l’homme. C’est une action qui émane de sa vraie nature, de sa propre essence, et exprime la vérité profonde de celui qui la réalise ».
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Il s’agit de la méditation sans … préméditation ! Méditation sans objet et sans but. Mais alors, à quoi bon méditer ? Parce que méditer sans but n’est pas sans effet… Comment apprendre à méditer ? Il n’est possible d’apprendre à méditer qu’en méditant.
Pas besoin d’un savoir ou d’un savoir-faire préalable. De la même manière que l’enfant de quinze mois (que chacun de nous a été) n’apprend pas à marcher afin d’arriver à marcher ! L’enfant apprend à marcher … en marchant selon les intentions du corps vivant (Leib). Rien de plus simple.
Commencez ! Il suffit de s’asseoir dans la tenue et la forme la plus juste qui soit pour un être humain et, dans l’absolue immobilité, sentir le va-et-vient du souffle, ce geste de la vie qui participe à l’acte de vivre sans que « moi » (le moi pensant, le mental) y soit pour quelque chose. C’est à travers la pleine attention, à ne pas confondre avec la conscience ‘’de‘’, que la méditation va vous apprendre à devenir celui, celle, que vous êtes au plus profond de l’être.
Voici ce que Dürckheim nous disait, lorsqu’il accompagnait celles et ceux qui, avec lui, pratiquaient la méditation de pleine attention pour la première fois ou depuis vingt ou trente ans :
« La beauté d’un geste a deux sources : le geste inné ou le geste parfaitement maîtrisé. Dans les deux cas le geste n’est pas, ou n’est plus, un « fait » par l’homme. C’est une action qui émane de sa vraie nature, de sa propre essence, et exprime la vérité profonde de celui qui la réalise »
« La beauté d’une attitude a deux sources : l’attitude innée ou l’attitude parfaitement maîtrisée. Dans les deux cas l’attitude n’est pas, ou n’est plus, un « fait » par l’homme. C’est une action qui émane de sa vraie nature, de sa propre essence, et exprime la vérité profonde de celui qui la réalise »
« La beauté de la forme a deux sources : la forme innée ou la forme parfaitement maîtrisée. Dans les deux cas la forme n’est pas, ou n’est plus, un « fait » par l’homme. C’est une action qui émane de sa vraie nature, de sa propre essence, et exprime la vérité profonde de celui qui la réalise ».
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