Dans son dernier livre, « Divine blessure » dénonce notre société qui fait croire que l’on peut, même que l’on doit guérir de tout. Non seulement, c’est un mensonge, mais en plus c’est faire fi de ce que les épreuves de la vie nous apportent. La blessure, à ne pas confondre avec la souffrance, est comme un aiguillon qui nous fait avancer dans notre quête d’Absolu. « Notre trésor, c’est notre cœur » conclut Jacqueline Kelen.
« Divine blessure », Ed Albin Michel, 2005.
L'ensembe des émissions proposées datent de mai 2005
3 commentaires:
Essentiel, très bien dit.
Et si la blessure, la fêlure, la fissure n'était autre que filon ?
Alors de mon sang, je pourrais faire de l'Or et boire la Lumière à mes veines percées.
Merci de tout coeur Eric d'avoir collecté pour nous toutes ces facettes d'Helen Kelen et surtout sa voix à la précision d'un diamant..
FrancineC
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