Plus nous rentrons dans la dimension de l’être, moins nous réagissons aux jugements et critiques. Nous devenons inattaquables.
Le jour où nous décidons de ne plus nous battre, nous devenons invincibles.
Lorsque le jugement apparaît, rappelez-vous, au fond de votre cœur, que le Juge ment.
Le jugement envers soi est tout aussi faux, il ment aussi.
Qu’il soit envers l’extérieur ou l’intérieur, le jugement n’est qu’un point de vue subjectif.
Pour qui nous prenons-nous pour nous juger et juger les autres ?
Quelle prétention que de se juger. Prenons cette douce habitude de ne plus mentir à nous-mêmes et aux autres.
Libéré du jugement, l’accès à la vérité s’ouvre.
Pour éviter de renforcer l’ego, nous devons aussi prendre nos distances avec la rumination et le ressentiment, parce qu’ils font partie de ses meilleurs alliés. Ayons le réflexe de regarder ce que nous pouvons faire plutôt que de nous épuiser à ne pas accepter ce que nous ne pouvons plus ou pas faire. Regardons le beau même lorsqu’il est envahi par le laid.
Prenons le réflexe du mouvement ascensionnel plutôt que celui de la descente.
Ne nous laissons pas entraîner par ceux qui donnent toujours de mauvaises nouvelles de l’humanité.
Il y aura toujours de la lumière. Tout me le dit !
Levons notre verre à l’amour et au courage et surtout, ne nous retournons pas !
Les masques sociaux devront aussi être reconnus et levés. Ils nous empêchent de tenter le tout pour la vie. Beaucoup d’entre nous ont pris la couleur, les comportements, les croyances de la patrie, de l’école, du collège, des parents. Ils sont les bons petits soldats : des copiés-collés accrochés aux dogmes transgénérationnels.
Leurs mots ne sont pas leurs mots, leurs gestes ne sont pas leurs gestes, ils les ont empruntés.
Déposer ses masques et ses blessures enclenche la fonte de l’ego et libère l’âme.