Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
La nuit n’est jamais complète.
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Paul Eluard
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Merci pour cet autre cadeau! Je suis (nous sommes) vraiment gâtés. Encore merci.
RépondreSupprimerBrigitte (Marseille)
Oui, la vie est changeante, toujours surprenante, même dans les passages difficiles.
RépondreSupprimerMerci du partage.
De qui est ce texte rempli d'espoir ?
Paul Eluard. C'est mis dans les libellés mais j'ai oublié de l'indiquer dans l'article.
RépondreSupprimerMerci. Bonne journée à vous.
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