Pratiquer augmente la stabilité mentale. La pratique doit être source de joie.
Une trop grande fatigue peut se révéler nocive. Si vos forces diminuent, reposez-vous.

Une trop grande contrainte agit à l'inverse des résultats recherchés.

Une trop grande contrainte agit à l'inverse des résultats recherchés.
Elle ouvre dans notre esprit épuisé un espace vacant dans lequel s'engouffrent nos émotions négatives.
Le Dalaï-Lama
Le Dalaï-Lama
En tout,partout..
RépondreSupprimerSuivre la ligne de moindre résistence,
En un sourire.
Le funambule sur son fil
Ne se raidit pas pour avancer,
Il glisse, léger.
Et lorsque la neige vient,
Elle ne s'oblige à rien
Pour exister.
Seul notre esprit chagrin
Invente des obstacles
Où l'effort nous contraint.
Sourire à Lilou... Bien dit ! ;-)
RépondreSupprimerNathamsa
Oui Lilou exprime l'eau qui coule...
RépondreSupprimerMerci
Yes mollo, mollo.
RépondreSupprimerUn équilibre délicat.
RépondreSupprimerEt pourtant... Ne dit on pas que quelques soient les situations de vie, fût ce une très très grande fatigue, la pratique demeure à portée d'intention ? Dans mon expérience, la pratique n'est pas toujours source de joie. Son exercice est parfois laborieux et difficile. Certes une trop grande contrainte revient à nager à contre courant, c'est à dire à s'épuiser sans espoir de parvenir au but recherché. Mais nos émotions, même si elles ont besoin d'être purifiées, n'en demeurent pas moins nécessaires pour avancer.
RépondreSupprimerDe qui sont ces mots Eric ? J'ai l'impression -- mais ça n'est que mon avis -- qu'ils ont été sortis de leur contexte. En fait, j'aurais bien aimé avoir un avant et un après... ;)