Dans un monastère particulièrement austère, celui de la Grande Chartreuse, au cœur des Alpes françaises, le réalisateur allemand Philip Gröning a passé six mois. Le film qu’il en a tiré présente un univers hors du temps, loin de la modernité. Le documentariste parle de sa démarche.
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Le chant de la félicité
RépondreSupprimerLe regard se retourne sur lui-même
Le regardeur disparaît dans le Soi
Rien ne reste hormis le Soi lui-même
Quel ravissement que le son du vide
Quelle paix que le parfum de l'un
Quelle grâce que la lumière du rien
La félicité allège chacun
La félicité n'appartient à rien
La félicité et je sont un.
Si tu ne connais pas:
http://jmmantel.net/
Bonnes lectures!
Merci Yog !
RépondreSupprimerSuper, quel beau cadeau! J'ai déjà regardé trois fois ce film, c'est une véritable méditation et tu me donnes envie de le revoir à nouveau. Le commentaire du réalisateur est magnifique! Comme il parle bien de leur liberté intérieure, superbe! Ca complète le film à merveille! Je le reverrai différemment! MERCI ERIC!!!
RépondreSupprimerMerci Sourire !
RépondreSupprimerMEILLEURS VOEUX
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