" Depuis ma tendre enfance, je m'arrête toujours devant un jet d'eau, parce que pour moi c'est le miroir de la vie. Les êtres vivants - le prix Nobel Ilya Prigogine l'a démontré - sont des structures dissipatives et des processus instables : c'est ce qu'un jet d'eau représente. Remarquez que cette structure souple, variable, instable, est tout de même stable un certain temps. Mais dès qu'on arrête la pression, il n'y a plus de structure, il n'y a plus de jet d'eau.
Ainsi en est-il de la vie. "
Henri Laborit (1914-1995) neurobiologiste et philosophe
Henri Laborit est un auteur qui m'a beaucoup apporté dans ses travaux sur les maladies psychosomatiques , dans les années 80 ... il a découvert un ensemble de données scientifiques qui prouvent que notre cerveau émet des informations au reste du corps , quand un conflit est vécu :1- d'une manière isolée .
RépondreSupprimer2- quand on ne peut pas en parler.
3- quand il dure dans le temps .
C'est le pionner de l'ère du décodage biologique .
Et par rapport à cette phrase ,
ça résonne en moi avec : laisser les vannes ouvertes pour que la puissance de la Vie puisse pulser..
Il y a fort longtemps, je m'étais lancé dans la lecture de "L'inhibition de l'action". J'avoue que la digestion fut assez lourde... Peut-être devrais-je tenter un nouvel essai.
RépondreSupprimerOoooooui ! dominique !
RépondreSupprimerc'est passionnant !
Merci pour ces encouragements Catherine, je vais en avoir besoin !
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